La France prépare son armée spatiale pour une guerre de demain. L'État a présenté son plan, qui comprend notamment des satellites patrouilleurs, des lasers et des brouilleurs. Le président Macron a souligné la menace planant au-dessus de nos têtes, notamment la Russie.
La France ne peut pas rester les bras ballants face à la militarisation de l'espace. Il faut remonter à juillet 2019 pour retrouver la dernière mouture de la stratégie spatiale de défense française. Le paysage géopolitique a beaucoup évolué depuis.
Le président Macron a présenté les grandes lignes du plan, tout en pointant la menace planant au-dessus de nos têtes. La Russie est le pays qui a été pointé du doigt. Le chef de l'État a cité des exemples concrets, tels que les vaisseaux patrouilleurs russes qui espionnent nos satellites, les brouillages massifs de signaux GPS et les attaques cyber contre nos infrastructures spatiales.
Il a également mentionné la menace russe particulièrement choquante d'armes nucléaires dans l'espace, dont les effets seraient désastreux pour le monde entier. Ce sujet avait défrayé la chronique début 2024, mais il reste d'actualité.
La France continuera de promouvoir le respect des règles, l'usage responsable de l'espace et l'adoption de nouveaux principes de conduite, a ajouté le chef de l'État. Pour se doter d'une défense active, les premiers satellites patrouilleurs français seront lancés en 2027, notamment Orbit Guard et Toutatis.
Ces satellites auront pour rôle de surveiller, inspecter et, si nécessaire, contrer les menaces en orbite. Ensuite, il y aura des lasers et des brouilleurs pour aveugler les satellites adverses ou les empêcher de fonctionner correctement. Cette piste n'est pas neuve, mais elle figure dans les annexes du projet de loi de finances pour 2026.
Le président Macron a également rappelé l'arrivée du radar Aurore pour la surveillance spatiale et le programme Jewel en coopération avec l'Allemagne afin d'avoir une capacité européenne d'alerte avancée face à un tir de missile.
La France ne peut pas rester les bras ballants face à la militarisation de l'espace. Il faut remonter à juillet 2019 pour retrouver la dernière mouture de la stratégie spatiale de défense française. Le paysage géopolitique a beaucoup évolué depuis.
Le président Macron a présenté les grandes lignes du plan, tout en pointant la menace planant au-dessus de nos têtes. La Russie est le pays qui a été pointé du doigt. Le chef de l'État a cité des exemples concrets, tels que les vaisseaux patrouilleurs russes qui espionnent nos satellites, les brouillages massifs de signaux GPS et les attaques cyber contre nos infrastructures spatiales.
Il a également mentionné la menace russe particulièrement choquante d'armes nucléaires dans l'espace, dont les effets seraient désastreux pour le monde entier. Ce sujet avait défrayé la chronique début 2024, mais il reste d'actualité.
La France continuera de promouvoir le respect des règles, l'usage responsable de l'espace et l'adoption de nouveaux principes de conduite, a ajouté le chef de l'État. Pour se doter d'une défense active, les premiers satellites patrouilleurs français seront lancés en 2027, notamment Orbit Guard et Toutatis.
Ces satellites auront pour rôle de surveiller, inspecter et, si nécessaire, contrer les menaces en orbite. Ensuite, il y aura des lasers et des brouilleurs pour aveugler les satellites adverses ou les empêcher de fonctionner correctement. Cette piste n'est pas neuve, mais elle figure dans les annexes du projet de loi de finances pour 2026.
Le président Macron a également rappelé l'arrivée du radar Aurore pour la surveillance spatiale et le programme Jewel en coopération avec l'Allemagne afin d'avoir une capacité européenne d'alerte avancée face à un tir de missile.