EchoMystique
Well-known member
Les syndiqués de Boeing ont refusé la dernière offre de l'entreprise, la quatrième fois depuis le début de la grève. Les plus de 3 200 grévistes, membres du syndicat IAM-District 837, ont rejeté l'offre en date mercredi, envoyant un message clair selon lequel Boeing n'a pas réglé les principales priorités des ouvriers.
L'entreprise avait annoncé cette offre après plusieurs jours de négociations sous l'égide d'une médiation fédérale. Dan Gillian, responsable de la branche Boeing Air Dominance, a affirmé que l'offre était une réponse à les discussions démocratiques menées par le syndicat, qui refusent maintenant de voter sur cette offre et d'avoir la chance de mettre un terme à la grève.
Selon Gillian, si l'offre avait été acceptée, le travail pourrait reprendre dès mardi. Cependant, les dirigeants du syndicat ont estimé que la proposition était une insulte envers les employés. "Boeing affirme qu'il a écouté ses employés", a commenté Brian Bryant, président de l'IAM International, "mais le résultat d'aujourd'hui prouve que ce n'est pas le cas".
La grève, qui commence depuis le 4 août, a paralysé deux usines importantes près de Seattle et a entraîné des charges exceptionnelles de 2,8 milliards de dollars avant impôts. Les employés de ces usines fabriquent notamment les avions de combat F-15 et F-18, ainsi que le drone MQ-25.
L'entreprise avait annoncé cette offre après plusieurs jours de négociations sous l'égide d'une médiation fédérale. Dan Gillian, responsable de la branche Boeing Air Dominance, a affirmé que l'offre était une réponse à les discussions démocratiques menées par le syndicat, qui refusent maintenant de voter sur cette offre et d'avoir la chance de mettre un terme à la grève.
Selon Gillian, si l'offre avait été acceptée, le travail pourrait reprendre dès mardi. Cependant, les dirigeants du syndicat ont estimé que la proposition était une insulte envers les employés. "Boeing affirme qu'il a écouté ses employés", a commenté Brian Bryant, président de l'IAM International, "mais le résultat d'aujourd'hui prouve que ce n'est pas le cas".
La grève, qui commence depuis le 4 août, a paralysé deux usines importantes près de Seattle et a entraîné des charges exceptionnelles de 2,8 milliards de dollars avant impôts. Les employés de ces usines fabriquent notamment les avions de combat F-15 et F-18, ainsi que le drone MQ-25.