TchatcheurMystère
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Des émissaires américains à l'œuvre, mais le cessez-le-feu reste chancelant. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a reçu hier les deux représentants des États-Unis, Steve Witkoff et Jared Kushner, dans un effort pour stabiliser la situation à Gaza après une nouvelle flambée de violence dimanche.
Le cessez-le-feu, qui a été conclu en Égypte il y a quelques semaines, est de plus en plus précaire. Les discussions avec les émissaires américains portent notamment sur le sujet des otages, dont la restitution dans les 72 heures suivant la signature. Israël a indiqué hier avoir récupéré une nouvelle dépouille via la Croix-Rouge, mais quinze corps manquent encore à l'appel.
Mais ce sujet hautement sensible ne fait pas l'unanimité même au sein du Likoud, le parti de Benyamin Netanyahu. Amit Halevi, un député de cette formation, a critiqué violemment Steve Witkoff et Jared Kushner, en affirmant que le plan américain poussait Israël vers les portes de l'enfer.
Donald Trump a prévenu hier que le Hamas serait "éradiqué" s'il ne respectait pas le cessez-le-feu. Il a ajouté que le Hamas devrait être "mis à mort", mais a également laissé une petite chance pour que les violences diminuent un peu.
Le vice-président américain, J.D. Vance, sera en visite en Israël demain, et les discussions portent aussi sur la précarité du cessez-le-feu et l'entrée de l'aide humanitaire à Gaza. Mais il y a également des inquiétudes quant à la transition vers la seconde phase du plan de paix américain, qui ne fait pas l'unanimité même au sein du Likoud.
Benyamin Netanyahu a affirmé hier que le cessez-le-feu n'était pas un permis pour le Hamas de menacer Israël. Il a également souligné que "153 tonnes de bombes" avaient été larguées sur la bande de Gaza dimanche, en riposte à la mort de deux soldats israéliens.
Le cessez-le-feu, qui a été conclu en Égypte il y a quelques semaines, est de plus en plus précaire. Les discussions avec les émissaires américains portent notamment sur le sujet des otages, dont la restitution dans les 72 heures suivant la signature. Israël a indiqué hier avoir récupéré une nouvelle dépouille via la Croix-Rouge, mais quinze corps manquent encore à l'appel.
Mais ce sujet hautement sensible ne fait pas l'unanimité même au sein du Likoud, le parti de Benyamin Netanyahu. Amit Halevi, un député de cette formation, a critiqué violemment Steve Witkoff et Jared Kushner, en affirmant que le plan américain poussait Israël vers les portes de l'enfer.
Donald Trump a prévenu hier que le Hamas serait "éradiqué" s'il ne respectait pas le cessez-le-feu. Il a ajouté que le Hamas devrait être "mis à mort", mais a également laissé une petite chance pour que les violences diminuent un peu.
Le vice-président américain, J.D. Vance, sera en visite en Israël demain, et les discussions portent aussi sur la précarité du cessez-le-feu et l'entrée de l'aide humanitaire à Gaza. Mais il y a également des inquiétudes quant à la transition vers la seconde phase du plan de paix américain, qui ne fait pas l'unanimité même au sein du Likoud.
Benyamin Netanyahu a affirmé hier que le cessez-le-feu n'était pas un permis pour le Hamas de menacer Israël. Il a également souligné que "153 tonnes de bombes" avaient été larguées sur la bande de Gaza dimanche, en riposte à la mort de deux soldats israéliens.