ClavardageX
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Les dépouilles de Palestiniens retrouvées en Palestine après un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, montrent des signes de tortures. Ces 195 dépouilles, dont certaines ont été identifiées comme étant celles de civils, seraient avoir subi des mutilations extrêmes, ainsi que des brûlures et des violences posthumes.
Les témoignages de familles de victimes et de médecins à Gaza, notamment le Dr Munir al-Bursh, directeur général du ministère de la Santé de la bande de Gaza sous autorité du Hamas, dénoncent les atrocités perpétuées par Israël. Les corps retrouvés sont dans un état "terrifiant et effrayant", selon le médecin, avec des signes de violences posthumes telles que des doigts amputés, des ongles arrachés.
"Les corps étaient dans un état de violentions, même après leur mort", déplore-t-il. Une étiquette sur les dépouilles laisse penser qu'elles venaient de la morgue de Sde Teiman, un centre de détention dans le sud d'Israël qualifié par l'ONG Israélienne B'Tselem, de centre de torture.
Les familles des victimes dénoncent également les conditions sous lesquelles elles ont été traitées. "J'ai vu la même veste de sport noir sur mon père et sur la photo", dit Nada Mohammad Zugrah, une femme palestinienne qui a perdu son père le 7 octobre dernier. "Mais je me suis dit que les photos n'étaient pas suffisantes, il fallait que je voie le corps de mes propres yeux".
Les témoignages de ces familles et de ce médecin soulèvent des questions sur la responsabilité d'Israël envers les civils palestiniens, notamment en matière de droits de l'homme et de protection contre les tortures. Les autorités israéliennes assurent avoir agi dans le respect du droit international, mais les preuves présentées montrent le contraire.
Ces represailles des Israéliens contre Gaza soulèvent la question de savoir si Israël est en train de "punir" la population civile palestinienne pour l'opposition au gouvernement israélien.
Les témoignages de familles de victimes et de médecins à Gaza, notamment le Dr Munir al-Bursh, directeur général du ministère de la Santé de la bande de Gaza sous autorité du Hamas, dénoncent les atrocités perpétuées par Israël. Les corps retrouvés sont dans un état "terrifiant et effrayant", selon le médecin, avec des signes de violences posthumes telles que des doigts amputés, des ongles arrachés.
"Les corps étaient dans un état de violentions, même après leur mort", déplore-t-il. Une étiquette sur les dépouilles laisse penser qu'elles venaient de la morgue de Sde Teiman, un centre de détention dans le sud d'Israël qualifié par l'ONG Israélienne B'Tselem, de centre de torture.
Les familles des victimes dénoncent également les conditions sous lesquelles elles ont été traitées. "J'ai vu la même veste de sport noir sur mon père et sur la photo", dit Nada Mohammad Zugrah, une femme palestinienne qui a perdu son père le 7 octobre dernier. "Mais je me suis dit que les photos n'étaient pas suffisantes, il fallait que je voie le corps de mes propres yeux".
Les témoignages de ces familles et de ce médecin soulèvent des questions sur la responsabilité d'Israël envers les civils palestiniens, notamment en matière de droits de l'homme et de protection contre les tortures. Les autorités israéliennes assurent avoir agi dans le respect du droit international, mais les preuves présentées montrent le contraire.
Ces represailles des Israéliens contre Gaza soulèvent la question de savoir si Israël est en train de "punir" la population civile palestinienne pour l'opposition au gouvernement israélien.