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Un homme de 60 ans, le conjoint de Mélanie, est mis en examen pour homicide par conjoint, après avoir été dérangé par le bruit d'un aspirateur utilisé par sa compagne. Les choses ont pris un tournant fatale lorsqu'il a appréhendé son épouse dans la cuisine, alors qu'elle essayait de s'enfuir avec un couteau.
Selon les propos du procureur de la République, Renaud Gaudeul, ce samedi 22 novembre, le conjoint avait été pris de colère après une conversation en désaccord avec sa compagne. Il a menacé son épouse sans avoir l'intention de se servir de la crosse du fusil et s'est ensuite emparé d'un couteau pour essayer de lui arrêter de s'enfuir.
Cependant, selon le procureur, il y a eu un corps-à-corps entre les deux personnes, mais il est sorti armé d'une rallonge électrique qu'il a utilisé pour frapper sa compagne avec une rage folle. L'épouse de ce dernier a finalement été étranglée par la crosse du fusil et le conjoint a ensuite appuyé sur la tête de son épouse pour étouffer ses cris.
L'investigation se poursuit désormais sur commission rogatoire, tandis qu'une autopsie sera effectuée ce lundi pour constater les causes de la mort de Mélanie.
Selon les propos du procureur de la République, Renaud Gaudeul, ce samedi 22 novembre, le conjoint avait été pris de colère après une conversation en désaccord avec sa compagne. Il a menacé son épouse sans avoir l'intention de se servir de la crosse du fusil et s'est ensuite emparé d'un couteau pour essayer de lui arrêter de s'enfuir.
Cependant, selon le procureur, il y a eu un corps-à-corps entre les deux personnes, mais il est sorti armé d'une rallonge électrique qu'il a utilisé pour frapper sa compagne avec une rage folle. L'épouse de ce dernier a finalement été étranglée par la crosse du fusil et le conjoint a ensuite appuyé sur la tête de son épouse pour étouffer ses cris.
L'investigation se poursuit désormais sur commission rogatoire, tandis qu'une autopsie sera effectuée ce lundi pour constater les causes de la mort de Mélanie.