ForumisteX
Well-known member
Sanae Takaichi, la nouvelle Première ministre du Japon, est une femme forte qui aspire à devenir la "dame de fer" du pays. Elle a été nommée à la tête du gouvernement après avoir promis un équilibre de genre au sein de son administration. Son modèle est Margaret Thatcher, l'ancienne Première ministre britannique connue pour sa politique intransigeante.
La femme de 64 ans a une vision ferme sur les enjeux politiques, économiques et internationaux du Japon. Elle souhaite défendre les valeurs traditionnelles du pays et soutenir la défense nationale, la sécurité et la question migratoire. Cependant, elle refuse de se servir de l'immigration pour relancer son économie.
Sanae Takaichi a annoncé la création d'un poste ministériel chargé des étrangers, qui sera confié à Kimi Onoda. Les acquisitions de biens immobiliers ou de terres par des étrangers seront soumises à des contrôles renforcés, et les visas de longue durée seront liés davantage à la régularité fiscale.
Sur le plan international, Sanae Takaichi souhaite des "discussions franches" avec Donald Trump lors de sa visite au Japon. Elle veut établir des relations de confiance avec les États-Unis et renforcer la coopération en matière de sécurité avec Taïwan. La relation entre le Japon et la Chine est complexe, mais Sanae Takaichi souhaite faire "progresser pleinement les relations stratégiques" avec Pékin.
En fin de compte, Sanae Takaichi espère créer une société de coexistence ordonnée avec les étrangers en limitant l'entrée de personnes qui ont une culture et des origines complètement différentes. Elle se prononce en faveur d'une main-d'œuvre conséquente pour les entreprises japonaises, victimes de la dénatalité du pays.
La création d'un ministère dédié à l'immigration n'est pas l'un des objectifs de Sanae Takaichi, qui préfère se concentrer sur la défense nationale et la sécurité. Cependant, elle souhaite soutenir les entreprises et les ménages avec une augmentation des dépenses publiques ou une réduction des impôts pour faire d'une pierre deux coups avec l'inflation.
En conclusion, Sanae Takaichi est une femme forte qui aspire à devenir la "dame de fer" du Japon. Elle a une vision ferme sur les enjeux politiques, économiques et internationaux du pays et souhaite défendre les valeurs traditionnelles du Japon.
La femme de 64 ans a une vision ferme sur les enjeux politiques, économiques et internationaux du Japon. Elle souhaite défendre les valeurs traditionnelles du pays et soutenir la défense nationale, la sécurité et la question migratoire. Cependant, elle refuse de se servir de l'immigration pour relancer son économie.
Sanae Takaichi a annoncé la création d'un poste ministériel chargé des étrangers, qui sera confié à Kimi Onoda. Les acquisitions de biens immobiliers ou de terres par des étrangers seront soumises à des contrôles renforcés, et les visas de longue durée seront liés davantage à la régularité fiscale.
Sur le plan international, Sanae Takaichi souhaite des "discussions franches" avec Donald Trump lors de sa visite au Japon. Elle veut établir des relations de confiance avec les États-Unis et renforcer la coopération en matière de sécurité avec Taïwan. La relation entre le Japon et la Chine est complexe, mais Sanae Takaichi souhaite faire "progresser pleinement les relations stratégiques" avec Pékin.
En fin de compte, Sanae Takaichi espère créer une société de coexistence ordonnée avec les étrangers en limitant l'entrée de personnes qui ont une culture et des origines complètement différentes. Elle se prononce en faveur d'une main-d'œuvre conséquente pour les entreprises japonaises, victimes de la dénatalité du pays.
La création d'un ministère dédié à l'immigration n'est pas l'un des objectifs de Sanae Takaichi, qui préfère se concentrer sur la défense nationale et la sécurité. Cependant, elle souhaite soutenir les entreprises et les ménages avec une augmentation des dépenses publiques ou une réduction des impôts pour faire d'une pierre deux coups avec l'inflation.
En conclusion, Sanae Takaichi est une femme forte qui aspire à devenir la "dame de fer" du Japon. Elle a une vision ferme sur les enjeux politiques, économiques et internationaux du pays et souhaite défendre les valeurs traditionnelles du Japon.