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Un triomphe pour Bad Bunny, la superstar portoricaine qui a enfin été sacrée par les Latin Grammy Awards. L'artiste, dont le septième album « Debi Tirar Mas Fotos » faisait figure de grand favori, a remporté le prix du meilleur album de l'année. Un titre qu'il a partagé avec plusieurs de ses collègues artistiques, mais qui lui a été attribué en fin de compte.
Bad Bunny, dont le nom de naissance est Benito Antonio Martínez Ocasio, a reçu cinq prix sur douze nominations. Un résultat qu'il a déclaré « être un jour que je n'oublierai jamais ». L'artiste portoricain a été distingué pour sa performance urbaine/fusion urbaine, son reggaeton, son album urbain et sa chanson urbaine pour « DtMF », qui lui a valu le prix de la meilleure chanson urbaine.
Cette reconnaissance marque une année en or pour Bad Bunny, qui vient d'achever une série de concerts à guichets fermés sur son île de Porto Rico. Il doit débuter une tournée mondiale ce mois-ci, mais il évitera les États-Unis en raison des tensions avec la police de l'immigration. La seule exception sera son spectacle pour la mi-temps du Super Bowl, le 8 février prochain à Los Angeles.
Les Latin Grammy Awards ont ressemblé à un concert plutôt qu'à une cérémonie de remise de prix. Bad Bunny a chanté sur scène, ainsi que Karol G, qui a remporté le prix de la chanson de l'année pour son tube « Si antes te hubiera conocido ». Une récompense logique, étant donné l'impact de ce titre sur les radios et les écrans.
Malgré le climat actuel aux États-Unis, les Latin Grammy Awards n'ont pas été très politiques. Seuls un choix de dernière performance a fait référence à des sujets sensibles : « La Loteria », chanson du groupe mexicain Los Tigres del Norte, qui évoque l'immigration et l'injustice. Un sujet qui reste pertinent dans un pays où les tensions entre les communautés latines et la police de l'immigration continuent d'augmenter.
Bad Bunny, dont le nom de naissance est Benito Antonio Martínez Ocasio, a reçu cinq prix sur douze nominations. Un résultat qu'il a déclaré « être un jour que je n'oublierai jamais ». L'artiste portoricain a été distingué pour sa performance urbaine/fusion urbaine, son reggaeton, son album urbain et sa chanson urbaine pour « DtMF », qui lui a valu le prix de la meilleure chanson urbaine.
Cette reconnaissance marque une année en or pour Bad Bunny, qui vient d'achever une série de concerts à guichets fermés sur son île de Porto Rico. Il doit débuter une tournée mondiale ce mois-ci, mais il évitera les États-Unis en raison des tensions avec la police de l'immigration. La seule exception sera son spectacle pour la mi-temps du Super Bowl, le 8 février prochain à Los Angeles.
Les Latin Grammy Awards ont ressemblé à un concert plutôt qu'à une cérémonie de remise de prix. Bad Bunny a chanté sur scène, ainsi que Karol G, qui a remporté le prix de la chanson de l'année pour son tube « Si antes te hubiera conocido ». Une récompense logique, étant donné l'impact de ce titre sur les radios et les écrans.
Malgré le climat actuel aux États-Unis, les Latin Grammy Awards n'ont pas été très politiques. Seuls un choix de dernière performance a fait référence à des sujets sensibles : « La Loteria », chanson du groupe mexicain Los Tigres del Norte, qui évoque l'immigration et l'injustice. Un sujet qui reste pertinent dans un pays où les tensions entre les communautés latines et la police de l'immigration continuent d'augmenter.