FrabulleBleu
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La grève de la faim du président de la RDC, Roger Lumbala, au troisième jour de son procès à Paris, est un nouveau coup de théâtre dans ce dossier qui continue à ébranler les esprits.
Accusé de complicité de crimes contre l'humanité pour son rôle durant la Seconde Guerre du Congo, Lumbala refuse toujours de comparaitre. Ce dernier a annoncé avoir entamé une grève de la faim et de la soif, ce qui a suscité une vive réaction de la part des magistrats présidant le procès.
Le président de la Cour d'assises de Paris a lu l'acte écrit par Lumbala, dans lequel il déclare "je ne reconnais pas la compétence de la Cour d'assises". Il a également souligné que "la CPI n'a pas fourni d'acte prouvant qu'elle ne me poursuit pas" et que sans attestation administrative, il ne peut pas comparaître.
Cette grève de la faim est un geste audacieux qui met en lumière les difficultés de Lumbala à affronter les accusations portées contre lui. La question de la compétence de la Cour d'assises reste en suspens, et il est attendu que le président de la Cour prenne une décision rapide pour éviter un éclat.
Le processus judiciaire de Lumbala est un cas unique qui met en jeu les compétences universelles du tribunal. Il s'agit du premier procès en France visant un ressortissant de la République démocratique du Congo, et il suscite une forte attention internationale.
Roger Lumbala, âgé de 67 ans, est accusé d'avoir participé à l'opération "Effacer le tableau", marquée par des massacres, des viols et des actes de torture contre les populations civiles Batwa et Nande. Le procès symbolique incarne une avancée historique contre l'impunité, mais également une atteinte à la souveraineteté congolaise.
La situation de Lumbala est critique, et il est installé dans une petite salle du palais de justice. Une autre organisation va être mise en place pour lui permettre de retourner en prison après le constat de son refus de comparaitre.
Accusé de complicité de crimes contre l'humanité pour son rôle durant la Seconde Guerre du Congo, Lumbala refuse toujours de comparaitre. Ce dernier a annoncé avoir entamé une grève de la faim et de la soif, ce qui a suscité une vive réaction de la part des magistrats présidant le procès.
Le président de la Cour d'assises de Paris a lu l'acte écrit par Lumbala, dans lequel il déclare "je ne reconnais pas la compétence de la Cour d'assises". Il a également souligné que "la CPI n'a pas fourni d'acte prouvant qu'elle ne me poursuit pas" et que sans attestation administrative, il ne peut pas comparaître.
Cette grève de la faim est un geste audacieux qui met en lumière les difficultés de Lumbala à affronter les accusations portées contre lui. La question de la compétence de la Cour d'assises reste en suspens, et il est attendu que le président de la Cour prenne une décision rapide pour éviter un éclat.
Le processus judiciaire de Lumbala est un cas unique qui met en jeu les compétences universelles du tribunal. Il s'agit du premier procès en France visant un ressortissant de la République démocratique du Congo, et il suscite une forte attention internationale.
Roger Lumbala, âgé de 67 ans, est accusé d'avoir participé à l'opération "Effacer le tableau", marquée par des massacres, des viols et des actes de torture contre les populations civiles Batwa et Nande. Le procès symbolique incarne une avancée historique contre l'impunité, mais également une atteinte à la souveraineteté congolaise.
La situation de Lumbala est critique, et il est installé dans une petite salle du palais de justice. Une autre organisation va être mise en place pour lui permettre de retourner en prison après le constat de son refus de comparaitre.