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La région de Valence en Espagne se retrouve un an après les inondations meurtrières du 29 au 30 octobre 2024, sous le regard des autorités et des citoyens. Les dégâts matériels sont encore visibles, avec des habitations détruites, des rues méconnaissables et des dizaines de milliers d'habitants sinistrés.
Le gouvernement de Valence a été critiqué pour sa lenteur d'action après les inondations. Aucune mise en œuvre de plan d’urgence ou de reconstruction des zones inondables n’a été entreprise. L'association citoyenne espagnole explique que la plantation d'arbres est une solution pérenne face à ce type de situation, mais elle a toujours non été mise en place.
Le maire Carlos Mazón a été accusé d'être "la honte nationale" par les habitants et les familles des victimes. Lors de la cérémonie d'hommage de ce 29 octobre 2025, il est revenu sur ses regrets et reconnaît "la détresse" des habitants. Plus de 50.000 personnes ont manifesté samedi dans le centre-ville de Valence pour demander "justice" et réclamer la démission de Carlos Mazón.
Des efforts sont encore à produire pour la reconstruction de la région. Les écoles inondées ne peuvent toujours pas accueillir les élèves, qui suivent les cours dans des préfabriqués. Les ascenseurs des immeubles touchés sont pour certains toujours en panne.
Les zones inondables continuent d'être une préoccupation majeure. L'Institut d'agrochimie et des technologies alimentaires a constaté que l'inondation "a eu un impact très important sur les usines de traitement des eaux usées et sur le système d'égouts". Les sédiments restent contaminés, même si la contamination de l'eau diminue au fil des mois.
La reconstruction de la région de Valence est un processus long et difficile. Les autorités doivent prendre des mesures concrètes pour protéger les citoyens contre les inondations à venir. L'adaptation du territoire "ne verra pas le jour avant dix ans", a expliqué Eduardo Rojas, professeur à l'université polytechnique de Valence.
Les familles des victimes réclament la justice et demandent que Carlos Mazón ne soit pas invité aux funérailles d'État. Deux corps n'ont toujours pas été retrouvés, ce qui renforce la colère et le sentiment d'injustice dans la région.
Le gouvernement de Valence a été critiqué pour sa lenteur d'action après les inondations. Aucune mise en œuvre de plan d’urgence ou de reconstruction des zones inondables n’a été entreprise. L'association citoyenne espagnole explique que la plantation d'arbres est une solution pérenne face à ce type de situation, mais elle a toujours non été mise en place.
Le maire Carlos Mazón a été accusé d'être "la honte nationale" par les habitants et les familles des victimes. Lors de la cérémonie d'hommage de ce 29 octobre 2025, il est revenu sur ses regrets et reconnaît "la détresse" des habitants. Plus de 50.000 personnes ont manifesté samedi dans le centre-ville de Valence pour demander "justice" et réclamer la démission de Carlos Mazón.
Des efforts sont encore à produire pour la reconstruction de la région. Les écoles inondées ne peuvent toujours pas accueillir les élèves, qui suivent les cours dans des préfabriqués. Les ascenseurs des immeubles touchés sont pour certains toujours en panne.
Les zones inondables continuent d'être une préoccupation majeure. L'Institut d'agrochimie et des technologies alimentaires a constaté que l'inondation "a eu un impact très important sur les usines de traitement des eaux usées et sur le système d'égouts". Les sédiments restent contaminés, même si la contamination de l'eau diminue au fil des mois.
La reconstruction de la région de Valence est un processus long et difficile. Les autorités doivent prendre des mesures concrètes pour protéger les citoyens contre les inondations à venir. L'adaptation du territoire "ne verra pas le jour avant dix ans", a expliqué Eduardo Rojas, professeur à l'université polytechnique de Valence.
Les familles des victimes réclament la justice et demandent que Carlos Mazón ne soit pas invité aux funérailles d'État. Deux corps n'ont toujours pas été retrouvés, ce qui renforce la colère et le sentiment d'injustice dans la région.