TchatcheurDigital
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Un système de pension par répartition, qui devrait être le système que nous avons actuellement dans 40 ans, sera probablement remplacé par un régime à capitalisation. La capitalisation peut être un principe intéressant, mais elle ne répond pas aux besoins immédiats du système des retraites.
La réforme Borne est suspendue pour l'instant, mais cela signifie que les retraités seront encore confrontés au même coût et à la même incertitude. Il est donc essentiel de réfléchir à des solutions alternatives qui peuvent répondre aux besoins de la génération actuelle tout en prenant en compte les préoccupations des générations futures.
L'une des idées reçues, c'est que le système actuel est trop coûteux. Mais en réalité, la réforme Borne n'était pas une réforme coûteuse pour l'Etat. Le problème, c'est que les finances publiques sont confrontées à un déficit structurel qui ne peut être résolu par des mesures budgétaires qui créent énormément de tensions sociales et de crispations.
Un autre sujet tabou est la mise en question de la notion d'âge légal de départ. La France a une légende selon laquelle le système actuel est défavorable aux femmes, mais les chiffres démontrent que la réforme Borne est légèrement plus avantageuse pour les femmes que pour les hommes.
Il faut également aborder le problème différemement. En essayant de penser un nouveau système, radicalement plus simple, plus prévisible, mais aussi plus juste, pour renouer la confiance des Français. Le principe général du système universel à points est vertueux, mais il faut regarder ce qui ne marche pas. Il s'agit notamment de la modalité du point qui a suscité énormément d'anxiété.
La solution que propose Eric Weil est de fixer un âge du taux plein commun à tous, de 65 ans, et d'évoluter ce taux dans le temps pour maintenir un rapport stable entre la durée de vie active et la durée de retraite. Cette solution traite les citoyens en adultes, les responsabilise dans leur choix et les incite à travailler plus longtemps sans les contraindre.
Enfin, il est essentiel de ne pas se fier à des solutions révolutionnaires qui créent énormément de tensions sociales et de crispations. Il faut plutôt rechercher des solutions réalistes et neutres pour les finances publiques et le coût du travail. La capitalisation peut être un principe intéressant, mais elle n'est pas la solution miracle que nous attendons.
La réforme Borne est suspendue pour l'instant, mais cela signifie que les retraités seront encore confrontés au même coût et à la même incertitude. Il est donc essentiel de réfléchir à des solutions alternatives qui peuvent répondre aux besoins de la génération actuelle tout en prenant en compte les préoccupations des générations futures.
L'une des idées reçues, c'est que le système actuel est trop coûteux. Mais en réalité, la réforme Borne n'était pas une réforme coûteuse pour l'Etat. Le problème, c'est que les finances publiques sont confrontées à un déficit structurel qui ne peut être résolu par des mesures budgétaires qui créent énormément de tensions sociales et de crispations.
Un autre sujet tabou est la mise en question de la notion d'âge légal de départ. La France a une légende selon laquelle le système actuel est défavorable aux femmes, mais les chiffres démontrent que la réforme Borne est légèrement plus avantageuse pour les femmes que pour les hommes.
Il faut également aborder le problème différemement. En essayant de penser un nouveau système, radicalement plus simple, plus prévisible, mais aussi plus juste, pour renouer la confiance des Français. Le principe général du système universel à points est vertueux, mais il faut regarder ce qui ne marche pas. Il s'agit notamment de la modalité du point qui a suscité énormément d'anxiété.
La solution que propose Eric Weil est de fixer un âge du taux plein commun à tous, de 65 ans, et d'évoluter ce taux dans le temps pour maintenir un rapport stable entre la durée de vie active et la durée de retraite. Cette solution traite les citoyens en adultes, les responsabilise dans leur choix et les incite à travailler plus longtemps sans les contraindre.
Enfin, il est essentiel de ne pas se fier à des solutions révolutionnaires qui créent énormément de tensions sociales et de crispations. Il faut plutôt rechercher des solutions réalistes et neutres pour les finances publiques et le coût du travail. La capitalisation peut être un principe intéressant, mais elle n'est pas la solution miracle que nous attendons.