Au cœur de l'Inde, une famille musulmane refuse de fuir la haine. Dans le petit village de Nanda Nagar, où les rues sont encore empreintes du goût de la violence, Ahamad Hasan a décidé de rester, malgré tout. Le commerçant de 49 ans, qui a toujours vécu là, attend désespérément les clients, mais ils n'arrivent plus à franchir le seuil de sa boutique.
C'est une histoire de rupture et de division. Pourquoi cette famille musulmane s'attaque-t-elle à l'idée de partir ? Quelques-uns ont été poussés par la peur, d'autres par l'intimidation, mais tous sont victimes de la haine. En quelques jours, les rues sont devenues des lieux de violence, où des groupes d'extrême droite hindous lancent des attaques contre les musulmans.
Ahamad Hasan se souvient des journées où ses voisins, tant hindous qu'islamiques, se réunissaient pour partager un repas ou discuter de la politique. Mais aujourd'hui, c'est le silence qui règne. La police, qui devrait protéger les citoyens, est souvent complice des agresseurs.
Les parents d'Ahamad Hasan et sa famille ont fui dans une autre ville pour échapper à la violence. Mais lui, il a décidé de rester, malgré les risques. Il attend désespérément que quelqu'un vienne le voir, qu'il reçoive des clients, pour retrouver un peu de normalité dans sa vie.
"J'ai l'impression d'être un fantôme", dit-il, en se regardant à travers le rideau de son boutique. Son entreprise est toujours opérationnelle, mais personne ne veut aller voir. Ahamad Hasan attend, impatiemment, pour retrouver la vie que jadis connaissait.
				
			C'est une histoire de rupture et de division. Pourquoi cette famille musulmane s'attaque-t-elle à l'idée de partir ? Quelques-uns ont été poussés par la peur, d'autres par l'intimidation, mais tous sont victimes de la haine. En quelques jours, les rues sont devenues des lieux de violence, où des groupes d'extrême droite hindous lancent des attaques contre les musulmans.
Ahamad Hasan se souvient des journées où ses voisins, tant hindous qu'islamiques, se réunissaient pour partager un repas ou discuter de la politique. Mais aujourd'hui, c'est le silence qui règne. La police, qui devrait protéger les citoyens, est souvent complice des agresseurs.
Les parents d'Ahamad Hasan et sa famille ont fui dans une autre ville pour échapper à la violence. Mais lui, il a décidé de rester, malgré les risques. Il attend désespérément que quelqu'un vienne le voir, qu'il reçoive des clients, pour retrouver un peu de normalité dans sa vie.
"J'ai l'impression d'être un fantôme", dit-il, en se regardant à travers le rideau de son boutique. Son entreprise est toujours opérationnelle, mais personne ne veut aller voir. Ahamad Hasan attend, impatiemment, pour retrouver la vie que jadis connaissait.
 
				
 . la police devrait faire mieux pour protéger les citoyens, et non aider les agresseurs ! Ahamad Hasan, il a raison de rester dans son village, mais c'est dommage qu'il soit seul face à ces problèmes. on devrait tous essayer de comprendre et de respecter les autres, quel que soit leur origine ou leur religion.
. la police devrait faire mieux pour protéger les citoyens, et non aider les agresseurs ! Ahamad Hasan, il a raison de rester dans son village, mais c'est dommage qu'il soit seul face à ces problèmes. on devrait tous essayer de comprendre et de respecter les autres, quel que soit leur origine ou leur religion. . Ahamad Hasan, il a du courage mais aussi des problèmes de santé psychologique et ça me tracasse un peu. Il y a une solution pour faire basculer la situation à son avantage et je pense que c'est là qu'il faut aller chercher les solutions avec l'aide de tous les citoyens
. Ahamad Hasan, il a du courage mais aussi des problèmes de santé psychologique et ça me tracasse un peu. Il y a une solution pour faire basculer la situation à son avantage et je pense que c'est là qu'il faut aller chercher les solutions avec l'aide de tous les citoyens  .
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. La situation dans ce petit village de Nanda Nagar est absolument anéantissante, il n'y a pas une seule personne qui ne soit touchée par la violence. Et la police, ça fait partie du problème aussi... on dirait que le silence est plus fort que les voix des citoyens qui pourraient faire la différence.
 La situation dans ce petit village de Nanda Nagar est absolument anéantissante, il n'y a pas une seule personne qui ne soit touchée par la violence. Et la police, ça fait partie du problème aussi... on dirait que le silence est plus fort que les voix des citoyens qui pourraient faire la différence.
 Cette histoire de Nanda Nagar me fait réfléchir. Pourquoi les gens sont-ils si incapables d'accepter les différences ? Je suis là, en France, et je vois des choses similaires, mais moins graves. Les musulmans qui viennent ici nous apportent leur culture, leur cuisine... On devrait être plus ouverts !
 Cette histoire de Nanda Nagar me fait réfléchir. Pourquoi les gens sont-ils si incapables d'accepter les différences ? Je suis là, en France, et je vois des choses similaires, mais moins graves. Les musulmans qui viennent ici nous apportent leur culture, leur cuisine... On devrait être plus ouverts !  Ce que j'aime chez Ahamad Hasan, c'est son détermination à rester dans sa boutique, même face à la violence. C'est comme si il disait : "Non, je ne vais pas fuir". Je lui en félicite !
 Ce que j'aime chez Ahamad Hasan, c'est son détermination à rester dans sa boutique, même face à la violence. C'est comme si il disait : "Non, je ne vais pas fuir". Je lui en félicite ! 

 Mais ce qui me dérange, c'est la police qui fait partie des agresseurs, ça ne va pas être acceptable dans une société démocratique. Il faut trouver un moyen de résoudre cette crise pour que les gens puissent retrouver la paix et l'harmonie...
 Mais ce qui me dérange, c'est la police qui fait partie des agresseurs, ça ne va pas être acceptable dans une société démocratique. Il faut trouver un moyen de résoudre cette crise pour que les gens puissent retrouver la paix et l'harmonie... 

