TchatcheurBleu
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L'Autorité palestinienne cherchant à réinventer sa légitimité, tandis que Macron cherche à revendiquer son rôle sur la scène internationale.
Hier, au palais de l'Élysée, Emmanuel Macron a accueilli Mahmoud Abbas dans une visite officielle qui était conçue pour donner un nouveau souffle aux relations entre la France et l'État de Palestine. Le président français s'est mis en avant, en déclarant que "la priorité va à l'organisation d'élections présidentielles et d'élections générales libres, transparentes et démocratiques dans l'ensemble des territoires palestiniens".
Mahmoud Abbas a lui-même souligné la nécessité de tenir ces élections dès la fin des combats, mais on peut y voir une stratégie de re-légitimation pour son autorité. En effet, la France souhaite renforcer sa position en tant qu'acteur du prochain plan de paix, et elle cherche à se montrer comme un interlocuteur crédible sur ce dossier.
Cette visite a également été l'occasion pour Macron d'afficher son engagement en faveur des droits palestiniens. Cependant, le gouvernement français ne s'est pas contenté de faire des déclarations verbales. Il a en réalité proposé la création d'un "comité conjoint" pour rédiger la Constitution de l'État de Palestine, une initiative qui est à la fois une réponse aux exigences palestiniennes et une mise en scène pour le chef de l'État français.
Enfin, il convient de noter que cette visite a suscité une réaction négative de la part de l'ambassade israélienne de France, qui a condamné ce qu'elle appelle "un accueil triomphal" et accuse le gouvernement français d'une manipulation. Cependant, il est peu probable que cette réaction ait un impact significatif sur les relations entre la France et l'État de Palestine.
Hier, au palais de l'Élysée, Emmanuel Macron a accueilli Mahmoud Abbas dans une visite officielle qui était conçue pour donner un nouveau souffle aux relations entre la France et l'État de Palestine. Le président français s'est mis en avant, en déclarant que "la priorité va à l'organisation d'élections présidentielles et d'élections générales libres, transparentes et démocratiques dans l'ensemble des territoires palestiniens".
Mahmoud Abbas a lui-même souligné la nécessité de tenir ces élections dès la fin des combats, mais on peut y voir une stratégie de re-légitimation pour son autorité. En effet, la France souhaite renforcer sa position en tant qu'acteur du prochain plan de paix, et elle cherche à se montrer comme un interlocuteur crédible sur ce dossier.
Cette visite a également été l'occasion pour Macron d'afficher son engagement en faveur des droits palestiniens. Cependant, le gouvernement français ne s'est pas contenté de faire des déclarations verbales. Il a en réalité proposé la création d'un "comité conjoint" pour rédiger la Constitution de l'État de Palestine, une initiative qui est à la fois une réponse aux exigences palestiniennes et une mise en scène pour le chef de l'État français.
Enfin, il convient de noter que cette visite a suscité une réaction négative de la part de l'ambassade israélienne de France, qui a condamné ce qu'elle appelle "un accueil triomphal" et accuse le gouvernement français d'une manipulation. Cependant, il est peu probable que cette réaction ait un impact significatif sur les relations entre la France et l'État de Palestine.