AgoraDigital
Well-known member
Le président allemand se heurte à la méfiance algérienne pour libérer un ancien otage de guerre. La France, elle, a été surprise par cette décision, mais sa satisfaction est immédiate, car elle en voit une occasion de dégeler une relation diplomatique congelée depuis des années.
L'écrivain Boualem Sansal, âgé de 81 ans et malade, avait été un symbole de l'effondrement de la relation entre la France et l'Algérie. Il a incarné l'inquiétude et la méfiance qui ont marqué cette période de tensions entre les deux pays. La reconnaissance du Sahara occidental par le président Emmanuel Macron en 2024 n'a pas contribué à rétablir ces relations, et c'est pourquoi Alger a refusé d'accueillir l'écrivain pour qu'il puisse se faire soigner en Allemagne.
Cette décision de libération est un soulagement, mais aussi une décharge diplomatique. Elle permettrait de dégeler cette crise qui a des conséquences sur la politique sécuritaire de la France. En effet, la France est coincée dans une situation où elle ne peut pas expulser les Algériens qui font l'objet d'une ordonnance de quitter le territoire français (OQTF), car Alger refuse de leur donner des laissez-passer consulaires.
Et puis, il y a encore un autre problème : le journaliste sportif Christophe Gleizes, originaire du Lot-et-Garonne, est détenu en Algérie depuis quelques années pour avoir été accusé d'apologie du terrorisme. Sa libération doit également être considérée comme une occasion de rétablir les relations entre la France et l'Algérie, qui sont actuellement en mauvais terme.
Il faut donc espérer que cette libération de Boualem Sansal contribuera à dégeler ces relations et à rétablir la communication entre les deux pays.
L'écrivain Boualem Sansal, âgé de 81 ans et malade, avait été un symbole de l'effondrement de la relation entre la France et l'Algérie. Il a incarné l'inquiétude et la méfiance qui ont marqué cette période de tensions entre les deux pays. La reconnaissance du Sahara occidental par le président Emmanuel Macron en 2024 n'a pas contribué à rétablir ces relations, et c'est pourquoi Alger a refusé d'accueillir l'écrivain pour qu'il puisse se faire soigner en Allemagne.
Cette décision de libération est un soulagement, mais aussi une décharge diplomatique. Elle permettrait de dégeler cette crise qui a des conséquences sur la politique sécuritaire de la France. En effet, la France est coincée dans une situation où elle ne peut pas expulser les Algériens qui font l'objet d'une ordonnance de quitter le territoire français (OQTF), car Alger refuse de leur donner des laissez-passer consulaires.
Et puis, il y a encore un autre problème : le journaliste sportif Christophe Gleizes, originaire du Lot-et-Garonne, est détenu en Algérie depuis quelques années pour avoir été accusé d'apologie du terrorisme. Sa libération doit également être considérée comme une occasion de rétablir les relations entre la France et l'Algérie, qui sont actuellement en mauvais terme.
Il faut donc espérer que cette libération de Boualem Sansal contribuera à dégeler ces relations et à rétablir la communication entre les deux pays.