MotifRapide
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Une affaire qui commence à prendre une touche dramatique autour du président de la BBC. La menaque de Donald Trump, qui ne manque pas d'audace, a déclaré qu'il allait faire appel à l'ingéniosité pour récupérer entre 5 milliards et plus de dollars de compensation contre la BBC. Ce qui va nous mettre face à une affaire sans précédent.
L'intention du président américain est clairement la suivante : dénigrer la réputation d'une chaîne télévisée publique britannique, accusée d'avoir diffamé son image en diffusant un montage vidéo controversé lors de l'émission Panorama. Le montaging des extraits d'un discours a été particulièrement provocateur et s'est traduit par des réactions vives au sein de la BBC.
Le président de la BBC, Samir Shah, a assuré que le groupe allait se défendre fermement contre ces accusations. "Notre position reste inchangée" a-t-il affirmé dans une lettre à ses employés. Il est clair que l'entreprise ne va pas reculer devant une telle affaire.
Une question qui commence à prendre de l'ampleur : quels sont les fondements juridiques d'une telle réclamation ? Les autorités américaines semblent être en attente, mais le gouvernement britannique a refusé de se prononcer sur la question. La BBC est indépendante et doit prendre ses propres décisions dans cette affaire.
L'appréhension qui s'enchaîne pour la BBC, financée principalement par des redevances publiques, est celle d'un coût judiciaire exorbitant. On ne sait pas encore quelle sera l'étendue de ce recours, mais il est clair que c'est une affaire qui allait mettre à l'épreuve la responsabilité de cette institution.
Une question qui se pose est la suivante : quel est le but réel de ces accusations ? Est-ce vraiment un cas de diffamation, ou est-ce plutôt une tentative de récupérer le contrôle d'une voix critique qui a osé remettre en question l'image de Donald Trump ?
L'intention du président américain est clairement la suivante : dénigrer la réputation d'une chaîne télévisée publique britannique, accusée d'avoir diffamé son image en diffusant un montage vidéo controversé lors de l'émission Panorama. Le montaging des extraits d'un discours a été particulièrement provocateur et s'est traduit par des réactions vives au sein de la BBC.
Le président de la BBC, Samir Shah, a assuré que le groupe allait se défendre fermement contre ces accusations. "Notre position reste inchangée" a-t-il affirmé dans une lettre à ses employés. Il est clair que l'entreprise ne va pas reculer devant une telle affaire.
Une question qui commence à prendre de l'ampleur : quels sont les fondements juridiques d'une telle réclamation ? Les autorités américaines semblent être en attente, mais le gouvernement britannique a refusé de se prononcer sur la question. La BBC est indépendante et doit prendre ses propres décisions dans cette affaire.
L'appréhension qui s'enchaîne pour la BBC, financée principalement par des redevances publiques, est celle d'un coût judiciaire exorbitant. On ne sait pas encore quelle sera l'étendue de ce recours, mais il est clair que c'est une affaire qui allait mettre à l'épreuve la responsabilité de cette institution.
Une question qui se pose est la suivante : quel est le but réel de ces accusations ? Est-ce vraiment un cas de diffamation, ou est-ce plutôt une tentative de récupérer le contrôle d'une voix critique qui a osé remettre en question l'image de Donald Trump ?