La Cour suprême des États-Unis a été sollicitée par Donald Trump pour autoriser le déploiement de la Garde nationale à Chicago. Le président américain a demandé une ordonnance temporaire pour permettre à l'administration d'utiliser les fusils des militaires dans la ville, en déclarant qu'il s'agissait de "la seule solution" pour contrôler les manifestations violentes.
Selon un document présenté à la Cour, les autorités américaines sont actuellement à court de munitions après une série d'attaques violents contre les policiers et des manifestants. Le président Trump a déclaré que "les fusils des militaires" étaient nécessaires pour "protéger la sécurité publique" dans les rues de Chicago.
Cependant, les avocats des groupes défendant les droits civiques ont dénoncé cette demande comme une "agression contre le droit à la liberté d'expression" et ont exigé que la Cour suprême refuse de l'autoriser. Ils ont souligné que les manifestations violentes sont une grave préoccupation, mais qu'il existe des autres moyens pour les gérer, tels que l'augmentation du nombre de policiers ou la mise en place de mesures de déstabilisation.
La demande du président Trump est considérée comme un affrontement direct avec les libertés civiles et le pouvoir des manifestants à exprimer leur colère. Les juristes et les observateurs politiques s'interrogent sur la légitimité de cette démarche et sur les conséquences potentielles si la Cour suprême donne son accord.
La situation est particulièrement sensible étant donné le contexte récent des attaques violentes contre les policiers dans plusieurs villes américaines. Les manifestants ont accusé la police de racisme et d'abus de pouvoir, tandis que les autorités affirment qu'ils font face à une menace terroriste.
Selon un document présenté à la Cour, les autorités américaines sont actuellement à court de munitions après une série d'attaques violents contre les policiers et des manifestants. Le président Trump a déclaré que "les fusils des militaires" étaient nécessaires pour "protéger la sécurité publique" dans les rues de Chicago.
Cependant, les avocats des groupes défendant les droits civiques ont dénoncé cette demande comme une "agression contre le droit à la liberté d'expression" et ont exigé que la Cour suprême refuse de l'autoriser. Ils ont souligné que les manifestations violentes sont une grave préoccupation, mais qu'il existe des autres moyens pour les gérer, tels que l'augmentation du nombre de policiers ou la mise en place de mesures de déstabilisation.
La demande du président Trump est considérée comme un affrontement direct avec les libertés civiles et le pouvoir des manifestants à exprimer leur colère. Les juristes et les observateurs politiques s'interrogent sur la légitimité de cette démarche et sur les conséquences potentielles si la Cour suprême donne son accord.
La situation est particulièrement sensible étant donné le contexte récent des attaques violentes contre les policiers dans plusieurs villes américaines. Les manifestants ont accusé la police de racisme et d'abus de pouvoir, tandis que les autorités affirment qu'ils font face à une menace terroriste.