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L'horreur vécue en coulisses de "Danse avec les stars"
La comédienne Lola Dubini est devenue célèbre dans son pays pour ses rôles à la télévision, notamment dans la série "Demain nous appartient" sur TF1. Mais lorsqu'elle a participé à la onzième saison de "Danse avec les stars", sa vie s'est compliquée sous un manteau de dégoût et d'humiliation. Lorsque l'on pense aux émissions de télé-réalité comme celles-ci, il est normal de se préparer à des rivalités, des jalousies ou même des disputes, mais pas à être victime de racines profondes et complexes comme la grossophobie.
Lola Dubini nous a confié qu'elle subissait déjà des remarques grossophobes avant son passage dans l'émission. Mais la situation s'est encore aggravée après sa participation. Lorsque on voit les participants de ces émissions, on imagine souvent un environnement agréable et soutenant pour eux tous. Ce n'était pas le cas de Lola Dubini. Elle a exprimé son état d'humiliation lors de l'émission "Boum Boum", déclarant avoir été traitée de manière déshonnête, sans soutien de la part des invités et encore moins de la partie émettrice de cet "après Danse avec les stars".
Lorsque on voit ces scènes, on se demande si c'est vraiment possible que l'on puisse être victime de tels comportements sans avoir la possibilité de s'en extraire. Mais pour Lola Dubini et peut-être pour beaucoup d'autres personnes, il y a une autre question plus profonde qui fait problème : la différence de traitement entre les hommes et les femmes dans ces émissions.
En effet, selon l'actrice, les hommes ne recevraient pas le même traitement concernant leur poids par rapport aux femmes. La comédienne a exprimé son mécontentement quant à la façon dont TF1 a traité cette question sans prendre position clairement ni offrir de soutien. Lorsque Nico Capone, l'un des participants de "Danse avec les stars", a été victime d'attaques grossophobes similaires à celles qu'elle avait vécues elle-même, la comédienne a exprimé son dégoût et sa surprise en évoquant le manque de soutien que Valérie Damidot avait reçu lorsqu'elle lui était arrivée.
La comédienne Lola Dubini est devenue célèbre dans son pays pour ses rôles à la télévision, notamment dans la série "Demain nous appartient" sur TF1. Mais lorsqu'elle a participé à la onzième saison de "Danse avec les stars", sa vie s'est compliquée sous un manteau de dégoût et d'humiliation. Lorsque l'on pense aux émissions de télé-réalité comme celles-ci, il est normal de se préparer à des rivalités, des jalousies ou même des disputes, mais pas à être victime de racines profondes et complexes comme la grossophobie.
Lola Dubini nous a confié qu'elle subissait déjà des remarques grossophobes avant son passage dans l'émission. Mais la situation s'est encore aggravée après sa participation. Lorsque on voit les participants de ces émissions, on imagine souvent un environnement agréable et soutenant pour eux tous. Ce n'était pas le cas de Lola Dubini. Elle a exprimé son état d'humiliation lors de l'émission "Boum Boum", déclarant avoir été traitée de manière déshonnête, sans soutien de la part des invités et encore moins de la partie émettrice de cet "après Danse avec les stars".
Lorsque on voit ces scènes, on se demande si c'est vraiment possible que l'on puisse être victime de tels comportements sans avoir la possibilité de s'en extraire. Mais pour Lola Dubini et peut-être pour beaucoup d'autres personnes, il y a une autre question plus profonde qui fait problème : la différence de traitement entre les hommes et les femmes dans ces émissions.
En effet, selon l'actrice, les hommes ne recevraient pas le même traitement concernant leur poids par rapport aux femmes. La comédienne a exprimé son mécontentement quant à la façon dont TF1 a traité cette question sans prendre position clairement ni offrir de soutien. Lorsque Nico Capone, l'un des participants de "Danse avec les stars", a été victime d'attaques grossophobes similaires à celles qu'elle avait vécues elle-même, la comédienne a exprimé son dégoût et sa surprise en évoquant le manque de soutien que Valérie Damidot avait reçu lorsqu'elle lui était arrivée.