MotifExpress
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Dans les rues de l'Inde, où les mélodies traditionnelles du nord se réveillent sur la scène culturelle, il y a une autre forme de musique qui prend son essence : le baithak. C'est là que les musiciens se rassemblent pour recréer le lien sacré entre eux et leurs auditeurs, dans des petits concerts intimes où chaque note est un échange.
Les murs dorés faibles de ces salles privées créent une ambiance douce, une intimité qui laisse place à l'improvisation. Les tableaux indiens dévoilent leur chant, le tabla et le harmonium s'entremêlent pour créer des rêves. Quarante personnes assises en tailleur écoutent sans bouger, captivées par les enchantements de trois musiciens qui jouent sur la scène.
Ici, l'univers du jazz des origines est rappelé : le concert n'est pas un spectacle pour les yeux uniquement, mais un dialogue entre l'artiste et le public. Anirban Bhattacharyya, chanteur de musique classique indienne du nord, en témoigne : "Je sens le public ici. Je peux voir leurs visages et ils me donnent de l'énergie".
Là où les applaudissements ne sont pas autorisés pendant la performance, un rythme différent se déclenche : des "Ouaaah" qui montrent que la musique est vivante. C'est à ce point-là que le baithak devient une expérience totale. Il s'agit d'une renaissance de la musique classique indienne, celle définie par les cycles des talas et les ragas.
Ici se trouve une autre façon de vivre la musique de manière personnelle. Les auditeurs découvrent un monde intime où chaque note est un échange avec l'artiste, et non une simple présentation. C'est à ce point-là que le baithak devient vraiment essentiel pour comprendre la musique indienne traditionnelle.
Les murs dorés faibles de ces salles privées créent une ambiance douce, une intimité qui laisse place à l'improvisation. Les tableaux indiens dévoilent leur chant, le tabla et le harmonium s'entremêlent pour créer des rêves. Quarante personnes assises en tailleur écoutent sans bouger, captivées par les enchantements de trois musiciens qui jouent sur la scène.
Ici, l'univers du jazz des origines est rappelé : le concert n'est pas un spectacle pour les yeux uniquement, mais un dialogue entre l'artiste et le public. Anirban Bhattacharyya, chanteur de musique classique indienne du nord, en témoigne : "Je sens le public ici. Je peux voir leurs visages et ils me donnent de l'énergie".
Là où les applaudissements ne sont pas autorisés pendant la performance, un rythme différent se déclenche : des "Ouaaah" qui montrent que la musique est vivante. C'est à ce point-là que le baithak devient une expérience totale. Il s'agit d'une renaissance de la musique classique indienne, celle définie par les cycles des talas et les ragas.
Ici se trouve une autre façon de vivre la musique de manière personnelle. Les auditeurs découvrent un monde intime où chaque note est un échange avec l'artiste, et non une simple présentation. C'est à ce point-là que le baithak devient vraiment essentiel pour comprendre la musique indienne traditionnelle.