La course à pied est-elle une panacésie pour notre santé ? Selon les dernières études, les coureurs et coureuses peuvent bénéficier d'une série de bienfaits réels sur la santé.
Tout d'abord, l'activité physique exerce un effet stabilisant sur le rythme cardiaque. De la même façon, la fréquence cardiaque au repos a baissé de 6,7 beats par minute et les triglycérides sont de 16,9 milligrammes par délice. Un phénomène qui devrait être étudié plus approfonditement.
Mais ce n'est pas tout : la course à pied a également augmenté la consommation maximale d'oxygène, la VO2max, de 7,1 millilitres par minute et le cholestérol HDL, le bon de la bande, de 3,3 milligrammes par délice. Une amplitude de variation qui n'est pas négligeable.
Pour ce qui est du risque de mortalité prématurée, les études suggèrent une diminution significative de 25% à 40%, par rapport aux non-coureurs. Un gain d'espérance de vie estimé à environ 3 ans, ce qui pourrait être considéré comme une réduction des risques cardiaques.
Mais qu'en est-il du côté psychologique ? Les médecins bosniaques ont mené un travail en 2020 et confirment les bienfaits psychologiques de la course à pied. Ainsi, ils assimilent cette activité physique aux outils thérapeutiques contre la dépression, l'anxiété, l'hypertension, les changements d'humeur, etc.
Il est donc évident que la course à pied n'est pas une panacésie, mais un élément essentiel pour notre santé. Les coureurs et coureuses peuvent ainsi bénéficier de bienfaits réels sur leur santé.
Tout d'abord, l'activité physique exerce un effet stabilisant sur le rythme cardiaque. De la même façon, la fréquence cardiaque au repos a baissé de 6,7 beats par minute et les triglycérides sont de 16,9 milligrammes par délice. Un phénomène qui devrait être étudié plus approfonditement.
Mais ce n'est pas tout : la course à pied a également augmenté la consommation maximale d'oxygène, la VO2max, de 7,1 millilitres par minute et le cholestérol HDL, le bon de la bande, de 3,3 milligrammes par délice. Une amplitude de variation qui n'est pas négligeable.
Pour ce qui est du risque de mortalité prématurée, les études suggèrent une diminution significative de 25% à 40%, par rapport aux non-coureurs. Un gain d'espérance de vie estimé à environ 3 ans, ce qui pourrait être considéré comme une réduction des risques cardiaques.
Mais qu'en est-il du côté psychologique ? Les médecins bosniaques ont mené un travail en 2020 et confirment les bienfaits psychologiques de la course à pied. Ainsi, ils assimilent cette activité physique aux outils thérapeutiques contre la dépression, l'anxiété, l'hypertension, les changements d'humeur, etc.
Il est donc évident que la course à pied n'est pas une panacésie, mais un élément essentiel pour notre santé. Les coureurs et coureuses peuvent ainsi bénéficier de bienfaits réels sur leur santé.