La question de la restitution des dépouilles d'otages décédés revient à être un point d'affrontement majeur entre Israël et le Hamas, malgré le cessez-le-feu en place. Le gouvernement israélien menace de ne pas permettre l'ouverture du point de passage de Rafah avant que toutes les dépouilles soient récupérées, une mesure qui déclenche la colère des dirigeants du Hamas.
Les deux organisations s'accordent à dire que le processus de restitution des dépouilles est lent et marqué par des problèmes. Le Hamas accuse l'État hébreu de ne pas respecter ses engagements en matière de restitution, tandis qu'Israël affirme que les corps remis sont ceux de combattants palestiniens qui ont été tués lors d'attentats contre Israël.
Les marques de torture sur les dépouilles récupérées par l'État hébreu sont considérées comme claires par l'organisation islamiste. Le Hamas dénonce ces actions, qui selon lui sont un crime contre l'humanité.
La réplique d'Israël est ferme : la fermeture prolongée du point de passage de Rafah entraînera des retards importants dans la récupération et la remise des dépouilles. Le gouvernement israélien affirme que les 135 dépouilles renvoyées par Israël depuis le début du processus de paix sont défigurées et marquées par la torture.
Le Club des prisonniers, une ONG palestinienne, souligne que les corps récupérés portent des traces de tortures physiques, telles que des ecchymoses, des fractures et des brûlures causées par des électrocutions ou des produits chimiques. Beaucoup de ces corps ont été recousus, tandis qu'autres présentaient des marques de balles dans la tête.
L'armée israélienne réagit à ces accusations en dénonçant une "propagande du Hamas". Cependant, les familles des victimes demandent une aide internationale pour obtenir les équipements nécessaires pour conserver les corps et procéder aux analyses médico-légales.
Les deux organisations s'accordent à dire que le processus de restitution des dépouilles est lent et marqué par des problèmes. Le Hamas accuse l'État hébreu de ne pas respecter ses engagements en matière de restitution, tandis qu'Israël affirme que les corps remis sont ceux de combattants palestiniens qui ont été tués lors d'attentats contre Israël.
Les marques de torture sur les dépouilles récupérées par l'État hébreu sont considérées comme claires par l'organisation islamiste. Le Hamas dénonce ces actions, qui selon lui sont un crime contre l'humanité.
La réplique d'Israël est ferme : la fermeture prolongée du point de passage de Rafah entraînera des retards importants dans la récupération et la remise des dépouilles. Le gouvernement israélien affirme que les 135 dépouilles renvoyées par Israël depuis le début du processus de paix sont défigurées et marquées par la torture.
Le Club des prisonniers, une ONG palestinienne, souligne que les corps récupérés portent des traces de tortures physiques, telles que des ecchymoses, des fractures et des brûlures causées par des électrocutions ou des produits chimiques. Beaucoup de ces corps ont été recousus, tandis qu'autres présentaient des marques de balles dans la tête.
L'armée israélienne réagit à ces accusations en dénonçant une "propagande du Hamas". Cependant, les familles des victimes demandent une aide internationale pour obtenir les équipements nécessaires pour conserver les corps et procéder aux analyses médico-légales.