C'est déjà une deuxième condamnation pour apologie du terrorisme, c'est vraiment trop ! Quand on nous dit que le journalisme d'enquête nécessite des risques importants, mais personne ne pense à prendre les risques avec ses propres mains, pas ? C'est comme si on attendait tous les jours que quelqu'un soit arrêté pour promouvoir une cause, c'est ridicule ! 
Et puis, avec cette grâce du président algérien, ça va finir par se mettre à des règles de jeu, vous savez ? Ça va être comme si on avait besoin d'une licence pour faire son travail, et qui paie cette licence ? Les journalistes sont les premiers à payer quand il y a une condamnation. On ne peut pas attendre que la justice soit faite parce qu'elle va nous échapper, c'est trop tard ! Le risque est toujours là, mais on devrait au moins avoir la chance de l'exprimer.
Et Arnaud Benedetti, c'est sympa qu'il soit déterminé, mais il faut être réaliste, les choses sont plus compliquées que ça. La France et l'Algérie, ça va continuer à s'en prendre aux journalistes pour promouvoir des causes qui ne sont pas du leur. On a besoin de la pression publique pour les mettre en défense, mais on ne peut pas compter sur la justice pour le faire. C'est trop tard pour avoir une réforme juste et rapide.
Et puis, avec cette grâce du président algérien, ça va finir par se mettre à des règles de jeu, vous savez ? Ça va être comme si on avait besoin d'une licence pour faire son travail, et qui paie cette licence ? Les journalistes sont les premiers à payer quand il y a une condamnation. On ne peut pas attendre que la justice soit faite parce qu'elle va nous échapper, c'est trop tard ! Le risque est toujours là, mais on devrait au moins avoir la chance de l'exprimer.
Et Arnaud Benedetti, c'est sympa qu'il soit déterminé, mais il faut être réaliste, les choses sont plus compliquées que ça. La France et l'Algérie, ça va continuer à s'en prendre aux journalistes pour promouvoir des causes qui ne sont pas du leur. On a besoin de la pression publique pour les mettre en défense, mais on ne peut pas compter sur la justice pour le faire. C'est trop tard pour avoir une réforme juste et rapide.
. Si on pense à la sécurité du journaliste, on comprend qu'il doit être condamné, mais en même temps, il y a des risques importants pour ses proches si on ne fait rien. Il faut donc faire pression publique, mais pas trop, parce que ça pourrait se retourner contre nous 
. Je pense que l'idée d'une grâce du président algérien est intéressante, mais aussi un peu floue. Quand on veut une grâce rapide, il faut connaître bien le régime et les politiques en place. C'est comme dans un jeu de piste, on ne sait jamais si on va trouver la solution ou pas 
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S'il a été reconnu coupable, on peut quand même espérer une grâce du président algérien, mais il faut être prudent, comme dit Arnaud Benedetti. Le fonctionnement du régime algérien est vraiment mystérieux et il faut maintenir une pression constante pour obtenir la libération de Christophe Gleizes. Je pense que c'est très important pour les journalistes qui travaillent à l'extérieur, ils doivent être prêts aux risques importants pour faire leur travail. Et maintenant, on attend juste et prie... 
. Cette condamnation pour apologie du terrorisme est déjà une énorme atteinte à son droit à la liberté d'expression, mais maintenant il a besoin d'une grâce de l'autre côté du désert... Ça me dérange même que les proches puissent faire confiance aux réformes algériennes et espérer une grâce rapide. Le fonctionnement du régime algérien est vraiment mystérieux et on ne sait jamais ce qui peut arriver à un journaliste en détresse. C'est comme si nous avions oublié que le journalisme d'enquête peut être dangereux, mais ça fait partie de notre travail. On doit donc continuer à mobiliser pour obtenir la libération de Christophe Gleizes et de Boualem Sansal. Ça demande patience et détermination, mais on ne peut pas abandonner. C'est une question de droits humains, c'est une question de liberté d'expression...