C'est vraiment désolant pour Christophe Gleizes, il est comme un fils de famille, on s'attendait à plus d'empathie de la part des autorités algériennes. Je comprends bien qu'il faut maintenir la pression publique, mais c'est vrai que le régime algérien n'est pas réputé pour sa compassion...
Je pense qu'on a sous-estimé la situation en France, on parle de l'opportunité d'une grâce, mais qu'en fait, on ne sait jamais ce qui se passe dans cette équipe. La mobilisation doit s'intensifier, c'est vrai, mais il faut aussi être prudents sur les promesses...
Je suis inquiet pour Christophe Gleizes, sa vie est à risque, il a déjà traversé une expérience très difficile avec Boualem Sansal, et maintenant c'est lui qui est en danger. Je pense qu'il faut faire tout ce qui est possible pour obtenir sa libération avant que ce ne soit trop tard.