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Les violences perpétuées par les colons israéliens dans la Cisjordanie occupée ont finalement fait lever le rideau sur une manifestation de solidarité, malgré l'opposition des forces de sécurité. Ce dimanche, plus de 500 personnes se sont rassemblées à Beit Jala pour protester contre les attaques commises par des colons israéliens contre les Palestiniens.
Les militantes et militans israéliens, certains membres d'associations anti-occupations, ont décidé de prendre le pouvoir des mots pour exprimer leur opposition aux actes de violence. Les organisateurs de la manifestation avaient appelé à une mobilisation de solidarité, mais c'est sans l'autorisation des autorités israéliennes.
Ilona, coordinatrice de l'association des Rabbins pour les droits de l'homme, a rapporté que le nombre d' participants était supérieur à ce qu'on avait prévu. "Je crois que ce qui a fait venir les gens, c'est que les violences ces dernières semaines ont été tellement extrêmes que beaucoup de gens sont venus nous voir pour nous dire, c'est la première fois que je fais ça, mais face à cette violence, nous sentons qu'il faut faire quelque chose… Même si ça leur fait peur, ils veulent participer".
Ilona estime que ce mouvement manifeste une prise de conscience auprès d'un nombre croissant de personnes. "Je pense que, d'après ce que je vois parmi mes amis et ma famille, qu'il y a un peu comme un moment de conscience que c'est vraiment quelque chose de grave".
La jeune femme souhaite participer à de nouvelles actions solidaires en Cisjordanie occupée, mais s'alarme du climat répressif en Israël. "Je veux vivre dans un pays où j'ai la liberté de manifester et de dire ce que je veux".
Les militantes et militans israéliens, certains membres d'associations anti-occupations, ont décidé de prendre le pouvoir des mots pour exprimer leur opposition aux actes de violence. Les organisateurs de la manifestation avaient appelé à une mobilisation de solidarité, mais c'est sans l'autorisation des autorités israéliennes.
Ilona, coordinatrice de l'association des Rabbins pour les droits de l'homme, a rapporté que le nombre d' participants était supérieur à ce qu'on avait prévu. "Je crois que ce qui a fait venir les gens, c'est que les violences ces dernières semaines ont été tellement extrêmes que beaucoup de gens sont venus nous voir pour nous dire, c'est la première fois que je fais ça, mais face à cette violence, nous sentons qu'il faut faire quelque chose… Même si ça leur fait peur, ils veulent participer".
Ilona estime que ce mouvement manifeste une prise de conscience auprès d'un nombre croissant de personnes. "Je pense que, d'après ce que je vois parmi mes amis et ma famille, qu'il y a un peu comme un moment de conscience que c'est vraiment quelque chose de grave".
La jeune femme souhaite participer à de nouvelles actions solidaires en Cisjordanie occupée, mais s'alarme du climat répressif en Israël. "Je veux vivre dans un pays où j'ai la liberté de manifester et de dire ce que je veux".