FrabulleExpress
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Cinq Français tués dans un accident mortel au Togo
Un drame qui a fait ressortir la fragilité des routes toghèses. En début d'après-midi mardi, cinq personnes françaises sont décédées dans un grave accident de circulation à Yomaboua, dans le centre du pays. Les victimes se trouvaient sur une mission humanitaire avec l'équipe caritative française de la Lions Club.
Les détails de l'accident sont encore peu clairs, mais selon les premières informations, il a été causé par l'éclatement d'un pneu avant un minibus, ce qui a entraîné une perte de contrôle du véhicule. Le minibus a ensuite basculé sous le pont de la rivière de Yomaboua.
Cinq des victimes, dont trois originaire de La Ciotat (Bouches-du-Rhône), avaient environ 70-75 ans. Parmi les disparues se trouvent également un membre du Lions Club de La Ciotat et un autre membre de l'antenne de Valenciennes.
La mairie de La Ciotat a confirmé que trois habitants de la ville sont morts dans cet accident, et a expressé son "extrême douleur" à l'égard de ces victimes. La ville est donc en état de tristesse pour ces personnes décédées.
Les routes toghèses sont connues pour leur dangerosité, en raison du mauvais état de la chaussée et de nombreux véhicules circulant. Les accidents de la circulation sont une préoccupation majeure dans le pays.
L'ambassade de France a été contactée pour l'organisation d'un rapatriement des personnes décédées et blessées, ainsi que pour aider à l'organisation de son voyage vers les soins médicaux. L'équipe caritative française devait se rendre au Bénin voisin pour y inaugurer une maternité.
L'accident a déclenché une enquête pour établir les causes exactes de ce drame. La Banque mondiale souligne chaque année que 1,19 million de personnes meurent chaque année dans le monde en raison d'accidents de circulation, souvent dus à un déficit critique de financement.
Les autorités togolaises ont confirmé avoir ouvert une enquête sur cet accident et invitent tous les témoins à se présenter.
				
			Un drame qui a fait ressortir la fragilité des routes toghèses. En début d'après-midi mardi, cinq personnes françaises sont décédées dans un grave accident de circulation à Yomaboua, dans le centre du pays. Les victimes se trouvaient sur une mission humanitaire avec l'équipe caritative française de la Lions Club.
Les détails de l'accident sont encore peu clairs, mais selon les premières informations, il a été causé par l'éclatement d'un pneu avant un minibus, ce qui a entraîné une perte de contrôle du véhicule. Le minibus a ensuite basculé sous le pont de la rivière de Yomaboua.
Cinq des victimes, dont trois originaire de La Ciotat (Bouches-du-Rhône), avaient environ 70-75 ans. Parmi les disparues se trouvent également un membre du Lions Club de La Ciotat et un autre membre de l'antenne de Valenciennes.
La mairie de La Ciotat a confirmé que trois habitants de la ville sont morts dans cet accident, et a expressé son "extrême douleur" à l'égard de ces victimes. La ville est donc en état de tristesse pour ces personnes décédées.
Les routes toghèses sont connues pour leur dangerosité, en raison du mauvais état de la chaussée et de nombreux véhicules circulant. Les accidents de la circulation sont une préoccupation majeure dans le pays.
L'ambassade de France a été contactée pour l'organisation d'un rapatriement des personnes décédées et blessées, ainsi que pour aider à l'organisation de son voyage vers les soins médicaux. L'équipe caritative française devait se rendre au Bénin voisin pour y inaugurer une maternité.
L'accident a déclenché une enquête pour établir les causes exactes de ce drame. La Banque mondiale souligne chaque année que 1,19 million de personnes meurent chaque année dans le monde en raison d'accidents de circulation, souvent dus à un déficit critique de financement.
Les autorités togolaises ont confirmé avoir ouvert une enquête sur cet accident et invitent tous les témoins à se présenter.
 
				 Le Togo, c'est un pays qui avait déjà beaucoup de mal avec les routes avant, mais qu'est-ce que l'on peut faire maintenant ? Les routes sont toujours en train de s'effondrer sous nos yeux, et on continue à traverser sur elles comme si ça ne faisait rien. Je me souviens quand j'étais enfant, mes grands-parents allaient souvent à Paris en bus, c'était une aventure. Maintenant, ça fait plus de 50 ans que la route est encore dans le même état...
 Le Togo, c'est un pays qui avait déjà beaucoup de mal avec les routes avant, mais qu'est-ce que l'on peut faire maintenant ? Les routes sont toujours en train de s'effondrer sous nos yeux, et on continue à traverser sur elles comme si ça ne faisait rien. Je me souviens quand j'étais enfant, mes grands-parents allaient souvent à Paris en bus, c'était une aventure. Maintenant, ça fait plus de 50 ans que la route est encore dans le même état... 

 Les routes toghèses sont effectivement en train de prendre leur revanche, c'est comme si elles nous rappelaient que la sécurité doit être notre priorité
 Les routes toghèses sont effectivement en train de prendre leur revanche, c'est comme si elles nous rappelaient que la sécurité doit être notre priorité  . Il faut vraiment réfléchir aux conditions de circulation dans ce pays et à la manière dont on peut les améliorer pour éviter de nouvelles tragédies
. Il faut vraiment réfléchir aux conditions de circulation dans ce pays et à la manière dont on peut les améliorer pour éviter de nouvelles tragédies  . Les accidents de circulation sont un phénomène mondial, mais il y a encore beaucoup qui peuvent être faits pour en atténuer les impacts
. Les accidents de circulation sont un phénomène mondial, mais il y a encore beaucoup qui peuvent être faits pour en atténuer les impacts  .
. Et pourtant, on continue à prendre des risques sans vraiment réfléchir aux conséquences. Je suis d'accord avec les autorités togolaises qui ont ouvert une enquête, c'est minimum. Mais on doit aussi parler des routes et trouver un moyen de les améliorer, pas juste se contenter de dire que ça fait trop chaud pour aller en faire soi-même...
 Et pourtant, on continue à prendre des risques sans vraiment réfléchir aux conséquences. Je suis d'accord avec les autorités togolaises qui ont ouvert une enquête, c'est minimum. Mais on doit aussi parler des routes et trouver un moyen de les améliorer, pas juste se contenter de dire que ça fait trop chaud pour aller en faire soi-même... 
 . Et les 1,19 million de personnes qui meurent chaque année en raison d'accidents de circulation... on devrait vraiment faire quelque chose pour éviter ces accidents
. Et les 1,19 million de personnes qui meurent chaque année en raison d'accidents de circulation... on devrait vraiment faire quelque chose pour éviter ces accidents 
 ! C'est trop triste, ça va nous faire réfléchir à la sécurité des routes toghèses. Moi je pense que c'est vraiment évident que on doit investir plus dans le remise en état des routes pour éviter ces drames... et surtout pour les gens qui partent pour aider les autres, ce sont juste des innocents
 ! C'est trop triste, ça va nous faire réfléchir à la sécurité des routes toghèses. Moi je pense que c'est vraiment évident que on doit investir plus dans le remise en état des routes pour éviter ces drames... et surtout pour les gens qui partent pour aider les autres, ce sont juste des innocents  .
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 C'est une tragédie qui pourrait être évitée si les routes toghèses étaient en meilleur état... Les accidents de circulation sont vraiment une préoccupation majeure dans le monde entier, on ne peut pas ignorer ce problème...
 C'est une tragédie qui pourrait être évitée si les routes toghèses étaient en meilleur état... Les accidents de circulation sont vraiment une préoccupation majeure dans le monde entier, on ne peut pas ignorer ce problème... 
 Je pense que c'est une occasion de réfléchir sur la sécurité routière dans les pays en développement, et d'investir plus dans le maintien des routes pour éviter ces drames.
 Je pense que c'est une occasion de réfléchir sur la sécurité routière dans les pays en développement, et d'investir plus dans le maintien des routes pour éviter ces drames.
 Je pense que c'est une occasion pour nous de réfléchir sur la responsabilité des organizations humanitaires et les risques qu'elles peuvent encourir lorsqu'elles opèrent dans des environnements difficiles.
 Je pense que c'est une occasion pour nous de réfléchir sur la responsabilité des organizations humanitaires et les risques qu'elles peuvent encourir lorsqu'elles opèrent dans des environnements difficiles.