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Amazon affiche des résultats record et assure que ses licenciements n'ont aucun lien avec l'intelligence artificielle. La firme de Jeff Bezos a publié des résultats en hausse au troisième trimestre 2025, avec un chiffre d'affaires de 180,2 milliards de dollars, dépassant les attentes des analystes. Le résultat est une réalisation qui éclate dans un climat social tendu : quelques jours plus tôt, Amazon confirmait la suppression de 14 000 postes à travers ses divisions américaines.
L'entreprise a le vent en poupe. Le chiffre d'affaires global a progressé de 13 % sur un an, largement soutenu par Amazon Web Services (AWS), dont les revenus ont bondi de 20 %. L'accélération des investissements dans ses infrastructures cloud et l'intelligence artificielle est citée comme un levier majeur de performance. La firme cite également l'ajout de 3,8 gigawatts de capacité sur douze mois, qui permettrait d'améliorer la puissance des serveurs Amazon EC2.
Le résultat d'exploitation reste stable par rapport à 2024, freiné par deux charges exceptionnelles : un accord à l'amiable avec la Federal Trade Commission et 1,8 milliard de dollars d'indemnités de départ. Un montant qui résonne tout particulièrement après l'annonce des suppressions de postes.
L'intelligence artificielle est au cœur de la stratégie d'Amazon. Le PDG Andy Jassy a rappelé que « l'IA apporte des améliorations significatives dans tous les aspects de notre activité ». Il n'y a plus un seul pan de l'entreprise qui échappe à cette transformation. Les embauches massives, notamment post-pandémie, ont complexifié les opérations.
Parmi les secteurs coûteux et souvent déficitaires, Prime Video, Amazon Studios et Amazon Games sont en première ligne des coupes. Des secteurs où les ambitions d'Amazon se sont heurtées à la réalité du marché. La division gaming a fait face aux difficultés. Un ingénieur du gameplay avait indiqué sur LinkedIn avoir fait partie de « la vague de licenciements chez Amazon Games ».
Moins de jeux vidéo et plus d'IA, tel est le nouveau credo d'Amazon. Si, pour l'heure, Andy Jassy affirme qu'il n'existe pas de lien direct entre les licenciements et l'intelligence artificielle, la frontière pourrait bientôt s'amincir : selon le New York Times, la firme viserait à se passer de près de 600 000 recrutements d'ici à 2033 grâce à l'automatisation.
L'entreprise a le vent en poupe. Le chiffre d'affaires global a progressé de 13 % sur un an, largement soutenu par Amazon Web Services (AWS), dont les revenus ont bondi de 20 %. L'accélération des investissements dans ses infrastructures cloud et l'intelligence artificielle est citée comme un levier majeur de performance. La firme cite également l'ajout de 3,8 gigawatts de capacité sur douze mois, qui permettrait d'améliorer la puissance des serveurs Amazon EC2.
Le résultat d'exploitation reste stable par rapport à 2024, freiné par deux charges exceptionnelles : un accord à l'amiable avec la Federal Trade Commission et 1,8 milliard de dollars d'indemnités de départ. Un montant qui résonne tout particulièrement après l'annonce des suppressions de postes.
L'intelligence artificielle est au cœur de la stratégie d'Amazon. Le PDG Andy Jassy a rappelé que « l'IA apporte des améliorations significatives dans tous les aspects de notre activité ». Il n'y a plus un seul pan de l'entreprise qui échappe à cette transformation. Les embauches massives, notamment post-pandémie, ont complexifié les opérations.
Parmi les secteurs coûteux et souvent déficitaires, Prime Video, Amazon Studios et Amazon Games sont en première ligne des coupes. Des secteurs où les ambitions d'Amazon se sont heurtées à la réalité du marché. La division gaming a fait face aux difficultés. Un ingénieur du gameplay avait indiqué sur LinkedIn avoir fait partie de « la vague de licenciements chez Amazon Games ».
Moins de jeux vidéo et plus d'IA, tel est le nouveau credo d'Amazon. Si, pour l'heure, Andy Jassy affirme qu'il n'existe pas de lien direct entre les licenciements et l'intelligence artificielle, la frontière pourrait bientôt s'amincir : selon le New York Times, la firme viserait à se passer de près de 600 000 recrutements d'ici à 2033 grâce à l'automatisation.