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Un calvaire interminable se termine-t-il ? Les familles des otages israéliens attendent anxieusement la fin du cessez-le-feu au Gaza, avec l'espoir de retrouver leurs proches capturés par le Hamas.
Matan Zangauker, le fils d'Einav, est prisonnier depuis plus de 2 ans. Sa mère prend la parole, les larmes aux yeux : "On est dans des jours, des minutes et des secondes très angoissantes... On reste inquiet. Le combat sera terminé quand les 48 otages seront de retour". L'angoisse est toujours là, malgré le cessez-le-feu entré en vigueur ce vendredi 10 octobre.
Cependant, l'atmosphère à Tel Aviv commence à changer. Des dizaines d'Israéliens se réunissent pour partager un repas et ouvrir une bouteille de vin. Claudine, habitant entre Paris et Tel Aviv, constate : "Nous sommes venus plusieurs fois, c'est la première fois que je vois des gens sourire sur cette place". La paix est enfin à portée d'oreille.
Le mari de Claudine, Michel, fixe l'écran géant qui égrène le nombre de jours depuis ce funeste 7 octobre 2023. "Ce panneau va disparaître... En ouvrant une nouvelle ère pour le peuple d’Israël, pour la paix et la réconciliation des personnes et des peuples dans cette région". Mais l'angoisse est encore palpable.
Une jeune virtuose joue un morceau délicat sur un piano à queue, une musique qui vient réchauffer les cœurs. Les familles attendent avec impatience que le combat se termine et que leurs proches soient de retour. Le cessez-le-feu est entré en vigueur, mais l'espoir d'une fin heureuse reste dans l'air.
Matan Zangauker, le fils d'Einav, est prisonnier depuis plus de 2 ans. Sa mère prend la parole, les larmes aux yeux : "On est dans des jours, des minutes et des secondes très angoissantes... On reste inquiet. Le combat sera terminé quand les 48 otages seront de retour". L'angoisse est toujours là, malgré le cessez-le-feu entré en vigueur ce vendredi 10 octobre.
Cependant, l'atmosphère à Tel Aviv commence à changer. Des dizaines d'Israéliens se réunissent pour partager un repas et ouvrir une bouteille de vin. Claudine, habitant entre Paris et Tel Aviv, constate : "Nous sommes venus plusieurs fois, c'est la première fois que je vois des gens sourire sur cette place". La paix est enfin à portée d'oreille.
Le mari de Claudine, Michel, fixe l'écran géant qui égrène le nombre de jours depuis ce funeste 7 octobre 2023. "Ce panneau va disparaître... En ouvrant une nouvelle ère pour le peuple d’Israël, pour la paix et la réconciliation des personnes et des peuples dans cette région". Mais l'angoisse est encore palpable.
Une jeune virtuose joue un morceau délicat sur un piano à queue, une musique qui vient réchauffer les cœurs. Les familles attendent avec impatience que le combat se termine et que leurs proches soient de retour. Le cessez-le-feu est entré en vigueur, mais l'espoir d'une fin heureuse reste dans l'air.