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Les quartiers londoniens où la charia s'impose
L'arrivée de migrants illégaux dans le Royaume-Uni continue d'alimenter les débats sur l'immigration. La grande réforme prévue pour l'an prochain prévoit une reconduite plus facile à la frontière, mais également la suppression des aides sociales pour les demandeurs d'asiles.
Un phénomène qui ne date pas d'hier, les migrants illégaux se regroupent par quartier et appliquent leurs us, leurs coutumes, leurs cultures et leur religion. Cela a conduit à une transformation radicale de certains quartiers londoniens en quelques années, au grand désespoir des Britanniques.
Ingrid, 78 ans, qui a toujours vécu dans un quartier populaire de l'Est Londonien, ne le reconnaît plus. "Tout a changé ici : on avait toutes les commodités à proximité, mais maintenant, ce sont juste des établissements halal", explique-t-elle.
Les établissements commercaires et religieux sont devenus de plus en plus nombreux dans ces quartiers. Le Conseil Islamique de la charia est l'un de ces centres qui a conquis une présence importante dans les communautés londoniennes. L'entrée au sein de cet établissement est strictement contrôlée, et les micros ne sont pas les bienvenus.
Un jeune Pakistanais de 25 ans nous a confié son expérience : "On y obtient des informations sur la religion... Ils m'ont même encouragé à venir me installer". Ce centre a une présence discrète dans le quartier, mais son influence est considérable pour les migrants illégaux.
La transformation de ces quartiers est un sujet sensible et suscite souvent des émotions fortes. Les Britanniques se sentent parfois marginalisés par l'arrivée de nouveaux arrivants qui appliquent leurs us et leurs coutumes. Cependant, il est difficile de séparer les personnes réellement illégales d'autres migrants qui cherchent à construire une nouvelle vie au Royaume-Uni.
La réforme prévue pour l'an prochain promet de résoudre cette question en simplifiant la reconduite et en supprimant les aides sociales, mais le débat sur l'immigration reste ouvert. Les quartiers londoniens où la charia s'impose sont un symbole de ces débats, et des questions restent sans réponse : comment faire coexister cultures et identités ? Comment trouver une solution pour les migrants illégaux ?
L'arrivée de migrants illégaux dans le Royaume-Uni continue d'alimenter les débats sur l'immigration. La grande réforme prévue pour l'an prochain prévoit une reconduite plus facile à la frontière, mais également la suppression des aides sociales pour les demandeurs d'asiles.
Un phénomène qui ne date pas d'hier, les migrants illégaux se regroupent par quartier et appliquent leurs us, leurs coutumes, leurs cultures et leur religion. Cela a conduit à une transformation radicale de certains quartiers londoniens en quelques années, au grand désespoir des Britanniques.
Ingrid, 78 ans, qui a toujours vécu dans un quartier populaire de l'Est Londonien, ne le reconnaît plus. "Tout a changé ici : on avait toutes les commodités à proximité, mais maintenant, ce sont juste des établissements halal", explique-t-elle.
Les établissements commercaires et religieux sont devenus de plus en plus nombreux dans ces quartiers. Le Conseil Islamique de la charia est l'un de ces centres qui a conquis une présence importante dans les communautés londoniennes. L'entrée au sein de cet établissement est strictement contrôlée, et les micros ne sont pas les bienvenus.
Un jeune Pakistanais de 25 ans nous a confié son expérience : "On y obtient des informations sur la religion... Ils m'ont même encouragé à venir me installer". Ce centre a une présence discrète dans le quartier, mais son influence est considérable pour les migrants illégaux.
La transformation de ces quartiers est un sujet sensible et suscite souvent des émotions fortes. Les Britanniques se sentent parfois marginalisés par l'arrivée de nouveaux arrivants qui appliquent leurs us et leurs coutumes. Cependant, il est difficile de séparer les personnes réellement illégales d'autres migrants qui cherchent à construire une nouvelle vie au Royaume-Uni.
La réforme prévue pour l'an prochain promet de résoudre cette question en simplifiant la reconduite et en supprimant les aides sociales, mais le débat sur l'immigration reste ouvert. Les quartiers londoniens où la charia s'impose sont un symbole de ces débats, et des questions restent sans réponse : comment faire coexister cultures et identités ? Comment trouver une solution pour les migrants illégaux ?