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Les forces armées françaises semblent être en train de développer un drone kamikaze capable d'atteindre une cible à 500 kilomètres de distance. Ce dispositif, baptisé Rodeur 330, est doté d'une charge explosive de 4 kilogrammes et peut voler pendant cinq heures.
Selon l'entreprise EOS Technologie, laquelle a dévoilé ces derniers jours un drone capables d'atteindre une cible à plus de 500 kilomètres, ce dispositif peut également voler en essaim avec jusqu'à 30 drones contrôlés simultanément à partir d'une seule station au sol. Cette capacité permettrait aux forces françaises de mener des attaques par saturation, afin de déborder les défenses adverses.
De plus, le Rodeur 330 est doté d'un système de reconnaissance du terrain, qui lui permet de naviguer sans interferences de la guerre électronique. C'est ainsi que les drones peuvent résister aux brouillages GPS visant à désorienter les aéronefs sans pilote.
Ce dispositif est en parallèle avec le Véloce 330, un drone doté d'une vitesse record de 400 kilomètres par heure. Le Rodeur 330 se distingue cependant par sa portée et son autonomie, qui sont respectivement dépassées.
Il convient de noter que ces développements sont en lien avec les efforts menés par l'armée française pour améliorer ses capacités de frappe lointaine. C'est dans ce contexte que le projet du missile balistique terrestre porté par ArianeGroup est à nouveau mis en avant, dont la portée sera de 2 000 kilomètres.
Mais les drones kamikazes, tels que le Rodeur 330, sont aussi un objet d'étude pour le Pentagone américain. C'est ainsi que l'armée des États-Unis cherche à développer ses propres drones capables de frapper lointement et sans pilote.
En tout cas, ces développements témoignent du désir des forces armées françaises pour mener les opérations militaires avec une plus grande efficacité et une meilleure capacité à frapper dans la profondeur.
Selon l'entreprise EOS Technologie, laquelle a dévoilé ces derniers jours un drone capables d'atteindre une cible à plus de 500 kilomètres, ce dispositif peut également voler en essaim avec jusqu'à 30 drones contrôlés simultanément à partir d'une seule station au sol. Cette capacité permettrait aux forces françaises de mener des attaques par saturation, afin de déborder les défenses adverses.
De plus, le Rodeur 330 est doté d'un système de reconnaissance du terrain, qui lui permet de naviguer sans interferences de la guerre électronique. C'est ainsi que les drones peuvent résister aux brouillages GPS visant à désorienter les aéronefs sans pilote.
Ce dispositif est en parallèle avec le Véloce 330, un drone doté d'une vitesse record de 400 kilomètres par heure. Le Rodeur 330 se distingue cependant par sa portée et son autonomie, qui sont respectivement dépassées.
Il convient de noter que ces développements sont en lien avec les efforts menés par l'armée française pour améliorer ses capacités de frappe lointaine. C'est dans ce contexte que le projet du missile balistique terrestre porté par ArianeGroup est à nouveau mis en avant, dont la portée sera de 2 000 kilomètres.
Mais les drones kamikazes, tels que le Rodeur 330, sont aussi un objet d'étude pour le Pentagone américain. C'est ainsi que l'armée des États-Unis cherche à développer ses propres drones capables de frapper lointement et sans pilote.
En tout cas, ces développements témoignent du désir des forces armées françaises pour mener les opérations militaires avec une plus grande efficacité et une meilleure capacité à frapper dans la profondeur.