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L'élégie des députés socialistes : une «taxe Zucman light » qui révèle leur vulnérabilité
Les députés du parti socialiste ont mis en avant un amendement controversé, visant à instaurer une «taxe Zucman light». Cette taxe prévoit de faire payer aux contribuables ayant un patrimoine supérieur à 10 millions d'euros au 1er janvier de l'année d'imposition, un impôt minimum de 3% sur ce patrimoine net global.
Cette taxe exclurait toutes les entreprises innovantes et les entreprises familiales. Mais qu'est-ce qui motive ces députés socialistes à proposer une telle mesure ? Selon Gabriel Zucman, économiste et défenseur d'une réduction des inégalités, il est impératif de faire contribuer les ultra-riches qui échappent très largement à l'impôt.
« On ne va pas réussir à s'en sortir tant qu'on ne demande pas à ces très grandes fortunes de contribuer au même titre que le reste de la population française », martèle-t-il. Cette taxe est un élément clé du budget 2026, et elle révèle la vulnérabilité des députés socialistes face aux critiques d'inefficacité des mesures déjà mises en place.
L'expérience historique et internationale de Gabriel Zucman est claire : dès qu'on introduit des exonérations, on lance la machine à optimisation. Mais l'économiste ne fait pas hésitation à critiquer les socialistes pour avoir proposé une telle taxe qui exclurait toutes les entreprises innovantes et les entreprises familiales.
Une «taxe Zucman light» qui sème le doute
Les députés socialistes ont déposé un amendement pour instaurer cette taxe, ce qui suscite des critiques. Selon les confrères de L'Opinion, cette mesure est une contre-proposition qui révèle la vulnérabilité des élus du PS face aux attentes de la population.
« Ne pas répéter l'échec intellectuel et politique » de 1981 est le message qu'a lancé Gabriel Zucman. Mais les députés socialistes semblent avoir appris rien, en proposant une taxe qui exclurait les entreprises innovantes et les entreprises familiales. Cette «taxe Zucman light» sème le doute sur la capacité des députés socialistes à prendre des décisions éclairées.
La réduction des inégalités est un objectif clé du budget 2026, mais cette mesure semble être une contre-proposition qui va dans le sens de Gabriel Zucman. La question restera de savoir si les députés socialistes auront la force de défendre leur proposition face aux critiques et aux attentes de la population française.
Les députés du parti socialiste ont mis en avant un amendement controversé, visant à instaurer une «taxe Zucman light». Cette taxe prévoit de faire payer aux contribuables ayant un patrimoine supérieur à 10 millions d'euros au 1er janvier de l'année d'imposition, un impôt minimum de 3% sur ce patrimoine net global.
Cette taxe exclurait toutes les entreprises innovantes et les entreprises familiales. Mais qu'est-ce qui motive ces députés socialistes à proposer une telle mesure ? Selon Gabriel Zucman, économiste et défenseur d'une réduction des inégalités, il est impératif de faire contribuer les ultra-riches qui échappent très largement à l'impôt.
« On ne va pas réussir à s'en sortir tant qu'on ne demande pas à ces très grandes fortunes de contribuer au même titre que le reste de la population française », martèle-t-il. Cette taxe est un élément clé du budget 2026, et elle révèle la vulnérabilité des députés socialistes face aux critiques d'inefficacité des mesures déjà mises en place.
L'expérience historique et internationale de Gabriel Zucman est claire : dès qu'on introduit des exonérations, on lance la machine à optimisation. Mais l'économiste ne fait pas hésitation à critiquer les socialistes pour avoir proposé une telle taxe qui exclurait toutes les entreprises innovantes et les entreprises familiales.
Une «taxe Zucman light» qui sème le doute
Les députés socialistes ont déposé un amendement pour instaurer cette taxe, ce qui suscite des critiques. Selon les confrères de L'Opinion, cette mesure est une contre-proposition qui révèle la vulnérabilité des élus du PS face aux attentes de la population.
« Ne pas répéter l'échec intellectuel et politique » de 1981 est le message qu'a lancé Gabriel Zucman. Mais les députés socialistes semblent avoir appris rien, en proposant une taxe qui exclurait les entreprises innovantes et les entreprises familiales. Cette «taxe Zucman light» sème le doute sur la capacité des députés socialistes à prendre des décisions éclairées.
La réduction des inégalités est un objectif clé du budget 2026, mais cette mesure semble être une contre-proposition qui va dans le sens de Gabriel Zucman. La question restera de savoir si les députés socialistes auront la force de défendre leur proposition face aux critiques et aux attentes de la population française.