PapoteurFurtif
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Le gouvernement français a finalement obtenu l'approbation parlementaire de son projet de budget pour 2026. La contribution différentielle sur les hauts revenus (CDHR), introduite en 2025, sera prolongée jusqu'à ce que le déficit passe sous la barre des 3% du produit intérieur brut (PIB). Cette décision a été adoptée par une majorité de 279 voix pour et seulement 25 contre.
Le taux minimal d'imposition prévu pour les ménages dont les revenus dépassent 250 000 euros par an est de 20 %. Les chiffres avancés par le gouvernement indiquent que cette mesure devrait rapporter près d'1,5 milliard d'euros l'année prochaine. Cependant, la réduction du déficit à un niveau inférieur à 3% du PIB est un objectif ambitieux, car la France n'a atteint ce niveau qu'à deux reprises lors des 15 dernières années.
Certains députés ont manifesté leur opposition à cette mesure. Gérault Verny (UDR) a déclaré que les élus sont "drogués à l'impôt" et "alcooliques qui se soignent avec le whisky de l'impôt". Guillaume Kasbarian (La République En Marche), quant à lui, considère que la contribution est un "répulsif à talent".
Malgré ces oppositions, les députés du camp gouvernemental ont finalement pris position en soutien à la mesure. Charles Sitzenstuhl a précisé que les élus ont compris l'attente des citoyens sur le sujet des très hauts patrimoines et des hauts revenus. François Ruffin (écologiste) a rappelé que la taxation du patrimoine des plus riches constitue un sujet essentiel.
Cette décision marque un tournant dans les relations entre l'État et les élites financières françaises. La contribution différentielle sur les hauts revenus devrait être mise en œuvre pour le 1er janvier 2026, ce qui pourrait avoir des conséquences importantes sur la répartition du pouvoir d'achat et les inégalités sociales.
Le taux minimal d'imposition prévu pour les ménages dont les revenus dépassent 250 000 euros par an est de 20 %. Les chiffres avancés par le gouvernement indiquent que cette mesure devrait rapporter près d'1,5 milliard d'euros l'année prochaine. Cependant, la réduction du déficit à un niveau inférieur à 3% du PIB est un objectif ambitieux, car la France n'a atteint ce niveau qu'à deux reprises lors des 15 dernières années.
Certains députés ont manifesté leur opposition à cette mesure. Gérault Verny (UDR) a déclaré que les élus sont "drogués à l'impôt" et "alcooliques qui se soignent avec le whisky de l'impôt". Guillaume Kasbarian (La République En Marche), quant à lui, considère que la contribution est un "répulsif à talent".
Malgré ces oppositions, les députés du camp gouvernemental ont finalement pris position en soutien à la mesure. Charles Sitzenstuhl a précisé que les élus ont compris l'attente des citoyens sur le sujet des très hauts patrimoines et des hauts revenus. François Ruffin (écologiste) a rappelé que la taxation du patrimoine des plus riches constitue un sujet essentiel.
Cette décision marque un tournant dans les relations entre l'État et les élites financières françaises. La contribution différentielle sur les hauts revenus devrait être mise en œuvre pour le 1er janvier 2026, ce qui pourrait avoir des conséquences importantes sur la répartition du pouvoir d'achat et les inégalités sociales.