La commission des finances de l'Assemblée nationale a rejeté la partie recettes du budget 2026, une décision qui démontre la méfiance des Républicains à l'égard de cette politique. "Nous ne voulons pas revivre ce qui s'est produit l'an dernier", a expliqué Jean-Didier Berger, membre de cette commission. Il déclare que la commission a assisté à une véritable folie fiscale, avec des impôts et des taxes nouvelles qui ont été votées "main dans la main" par le Rassemblement national et La France Insoumise.
Selon Jean-Didier Berger, les conditions n'étaient pas réunies pour faire passer ces nouvelles taxes. Malgré cela, il a soutenu que le gouvernement Lecornu a choisi de ne pas avoir recours à l'article 49.3, ce qui permettrait d'abolir la majorité requise pour voter un budget. "Le budget est ce qu'en font les députés : parfois le meilleur, parfois le pire", a-t-il expliqué.
La principale critique de Jean-Didier Berger est que le budget prévoit une hausse des impôts alors qu'il faudrait une réduction des dépenses publiques. "Il existe pourtant des marges de manœuvre", assure-t-il. Il souhaite cependant éviter d'attaquer les plus fortunés, car la France est déjà le pays le plus imposé du monde.
Jean-Didier Berger a soutenu que des ajustements peuvent être envisagés, mais qu'ils doivent être accompagnés d'une baisse d'autres impôts. Il est convaincu que "le problème n'est pas celui des recettes, mais de la dépense publique". Enfin, il s'est prononcé en faveur d'un impôt réparti "de manière équitable", ce qui signifie que les impôts seront répartis de manière plus juste et moins préjudiciable aux classes moyennes.
Selon Jean-Didier Berger, les conditions n'étaient pas réunies pour faire passer ces nouvelles taxes. Malgré cela, il a soutenu que le gouvernement Lecornu a choisi de ne pas avoir recours à l'article 49.3, ce qui permettrait d'abolir la majorité requise pour voter un budget. "Le budget est ce qu'en font les députés : parfois le meilleur, parfois le pire", a-t-il expliqué.
La principale critique de Jean-Didier Berger est que le budget prévoit une hausse des impôts alors qu'il faudrait une réduction des dépenses publiques. "Il existe pourtant des marges de manœuvre", assure-t-il. Il souhaite cependant éviter d'attaquer les plus fortunés, car la France est déjà le pays le plus imposé du monde.
Jean-Didier Berger a soutenu que des ajustements peuvent être envisagés, mais qu'ils doivent être accompagnés d'une baisse d'autres impôts. Il est convaincu que "le problème n'est pas celui des recettes, mais de la dépense publique". Enfin, il s'est prononcé en faveur d'un impôt réparti "de manière équitable", ce qui signifie que les impôts seront répartis de manière plus juste et moins préjudiciable aux classes moyennes.