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Un rejet unanime des "recettes" au Parlement, ce qui signifie que le gouvernement s'est encore une fois mis en travers. Le ministre de l'Économie, Roland Lescure, a affiché sa face calme et son sourire confidentiel, affirmant que « nous n’en sommes qu’à la moitié du parcours parlementaire ». Cependant, il ne peut pas ignorer les critiques lancées contre lui. « Les extrêmes », selon lui, sont responsables de ce rejet. L'extrême droite et l'extrême gauche ont voté ensemble un budget insincère, au détriment des compromis concrets élaborés et votés jour après jour dans l'hémicycle.
Le gouvernement a mis en garde contre les conséquences d'un tel rejet : la nécessité de passer par ordonnances ou de recourir à une loi spéciale pour percevoir les impôts existants. Ce qui signifie que le Parlement s'en sortira sans avoir à prendre des décisions difficiles. Mais Lescure, on ne croit pas qu'il va abandonner dans ce combat. Il pense intimement qu'une solution pourrait être trouvée avant la fin de l'année. La majorité des groupes parlementaires saura trouver les points de rencontre nécessaires pour permettre à notre pays d'avoir un budget et d'aborder 2026 avec stabilité et visibilité pour nos entreprises et nos concitoyens.
Le gouvernement a mis en garde contre les conséquences d'un tel rejet : la nécessité de passer par ordonnances ou de recourir à une loi spéciale pour percevoir les impôts existants. Ce qui signifie que le Parlement s'en sortira sans avoir à prendre des décisions difficiles. Mais Lescure, on ne croit pas qu'il va abandonner dans ce combat. Il pense intimement qu'une solution pourrait être trouvée avant la fin de l'année. La majorité des groupes parlementaires saura trouver les points de rencontre nécessaires pour permettre à notre pays d'avoir un budget et d'aborder 2026 avec stabilité et visibilité pour nos entreprises et nos concitoyens.