Un réseau de crime organisé à la une du trophée de Miss Univers au Mexique.
Le président du concours de beauté Miss Univers, Raúl Rocha, le Mexicain accusé d'un réseau de trafic de combustible, de drogue et d'armes entre le Mexique et le Guatemala. Un cas qui met la fierté de la victoire de Fatima Bosch à mal.
Lorsque Fatima Bosch a été couronnée Miss Univers à Nonthaburi, au nord de Bangkok, le 21 novembre dernier, l'émeute était présente. La jeune Mexicaine avait osé défier Nawat Itsaragrisil, l'organisateur local du concours, qui lui avait traité d'idiote après qu'elle eut exprimé son mécontentement envers sa position prépondérante. Mais le cas de Fatima Bosch ne s'est pas arrêté là.
Il a été révélé que Raúl Rocha, le président du concours, était accusé par le parquet de diriger un réseau de trafic de combustible, de drogue et d'armes entre le Mexique et le Guatemala. Un réseau qui met en danger la réputation de l'organisation.
Le principal journal mexicain, El Universal, a révélé que les comptes bancaires de Rocha avaient été bloqués par ordre du gouvernement. Une décision qui soulève des interrogations sur la corruption et la répression d'un scénario qui paraît étrange à première vue.
Fatima Bosch avait promis un conte de fées moderne, mais son parcours vers le trône de Miss Univers a été marqué par cette affaire. Un cas qui met en question l'idéalisme des concours de beauté et la volonté de ceux qui y participent à se faire entendre.
Milenio, journal d'opposition de droite, a résumé cette affaire : « Le plus répugnant dans cette affaire est que le Mexique se trouve de nouveau discrédité par un acte de corruption scandaleux. Une fois de plus, le monde nous perçoit comme un pays englué dans un cycle interminable d’indécence ».
Le président du concours de beauté Miss Univers, Raúl Rocha, le Mexicain accusé d'un réseau de trafic de combustible, de drogue et d'armes entre le Mexique et le Guatemala. Un cas qui met la fierté de la victoire de Fatima Bosch à mal.
Lorsque Fatima Bosch a été couronnée Miss Univers à Nonthaburi, au nord de Bangkok, le 21 novembre dernier, l'émeute était présente. La jeune Mexicaine avait osé défier Nawat Itsaragrisil, l'organisateur local du concours, qui lui avait traité d'idiote après qu'elle eut exprimé son mécontentement envers sa position prépondérante. Mais le cas de Fatima Bosch ne s'est pas arrêté là.
Il a été révélé que Raúl Rocha, le président du concours, était accusé par le parquet de diriger un réseau de trafic de combustible, de drogue et d'armes entre le Mexique et le Guatemala. Un réseau qui met en danger la réputation de l'organisation.
Le principal journal mexicain, El Universal, a révélé que les comptes bancaires de Rocha avaient été bloqués par ordre du gouvernement. Une décision qui soulève des interrogations sur la corruption et la répression d'un scénario qui paraît étrange à première vue.
Fatima Bosch avait promis un conte de fées moderne, mais son parcours vers le trône de Miss Univers a été marqué par cette affaire. Un cas qui met en question l'idéalisme des concours de beauté et la volonté de ceux qui y participent à se faire entendre.
Milenio, journal d'opposition de droite, a résumé cette affaire : « Le plus répugnant dans cette affaire est que le Mexique se trouve de nouveau discrédité par un acte de corruption scandaleux. Une fois de plus, le monde nous perçoit comme un pays englué dans un cycle interminable d’indécence ».