Voici le texte de l'article avec les éléments de sortie mise en forme :
**Le bilan de la nouvelle Alpine A290 : un jouet très addictif**
Le futur est ici et c’est une époque où les énergies renouvelables sont de plus en plus mises en avant. Cela concerne particulièrement les véhicules électriques, dont la Renault se fait déjà partie intégrante du mouvement avec sa « Technologie Z.E. ». La dernière de ce genre est bien sûr l’Alpine A290 électrique, une sportive qui promet beaucoup mais ne va-t-elle pas décevoir ?
**La conception : un jouet très addictif**
L'aspect visuel de la sportivité bleue de notre testée est bien sûr un point fort. La Renault a fait son choix et s'est laissé inspirer par le design d'une Saab 9000 pour y ajouter quelques éléments modernes, tels que des phares rétroviseurs électroniques et des jantes en aluminium. On se croirait peut-être en train de rouler dans une voiture « 80 s », mais on est bien ici dans la France actuelle. Les lignes de l’A290 sont belles et rafraîchissantes, avec des feux arrière qui évoquent un peu les Jaguar de l’époque « F ».
La plupart des éléments intérieurs rappellent également le style d'époque « F ». Les touches plastiques sont de qualité et rien n'implique une voiture électrique. Sur le dashboard, on retrouve le tableau d'information classique, avec un tracé moderne et épuré. En revanche, l'appareil audio est plus traditionnel.
**La conduite : un comportement efficace ou fun si on la provoque**
Plonger dans les virages n’est pas un problème grâce à une direction précise couplée à un train avant incisif. On sent bien que la sportivité a été pensée pour se dérober et s’enfuir. Mais ce n'est pas une banale voiture de route : la suspension est ferme mais pas trop inconfortable, et le comportement sur les embouteillages reste très bon.
Le train arrière peut encore s’échapper légèrement lorsqu’on pousse un peu l’A290 dans ses retranchements. On pourrait penser qu’il est à l’encontre des préceptes de la rationalité énergétique, mais on comprend que le purisme n’est pas toujours le moyen le plus efficace pour atteindre un objectif.
Les freins sont très bien calibrés et permettent une récupération très nette du moteur. Le système « One Pedal » est bien présent, ce qui nous apprend qu’Alpine a hâte de révolutionner la conduite électrique en France. Mais on ne peut pas s’empêcher de regretter que le mode soit disponible sur notre testé.
L'insonorisation reste un peu étrangère à l'esprit de sportivité qui fait rêver les constructeurs, mais on comprend que ce sont là des éléments secondaires par rapport aux aspects plus important du véhicule.
**La autonomie et la consommation : une autonomie réelle d'environ 300 km**
L’A290 reprend la batterie de 52 kWh et revendique une autonomie de 361 km WLTP. Dans la réalité, il faut compter plutôt sur une autonomie réelle autour des 300 km — comme la Mini JCW E — avec une consommation moyenne relevée de 17,6 kWh/100 km. En haussant le rythme, la balade prendra fin inéluctablement plus tôt.
La recharge est un peu moins délicate. La Renault a choisi d'aller jusqu'à 100 kW sur borne rapide et annonce un 15 à 80 % de batterie en 30 minutes. Mais la réalité s’est avérée un peu lente, car j'ai réalisé un 36 à 84 % en à peine 25 minutes.
**Le prix : plus cher qu’une Mini John Cooper Works E**
La sportivité se mérite chez Alpine et coûte donc le double. La A290 GTS est vendue à partir de 45 000 €, soit 2 500 euros de plus que sa version « GT » de 180 ch. S'ajoutent des options d'équipement de 1 300 euros pour porter le total à 47 200 euros, ce qui fait un gros plafond.
La Mini John Cooper Works E est une option moins chère avec un prix de 42 550 euros. Et pour la rendre encore plus compétitive, elle offre des options personnalisations gratuites. En optant pour le pack d'équipement complet — 3 310 euros —, la facture s'élève finalement à 45 860 euros.
**Conclusion**
La toute première Alpine électrique mérite-t-elle son patronyme ? N’en déplaise aux puristes, mais je pense bien que oui. Nous avons là une machine à l’efficacité redoutable, certes bridée par son électronique, qui procure des sensations sympathiques lorsque l’on roule dans sa plage d’utilisation idéale, comme par hasard située aux limitations de vitesse sur routes départementales. Si l'on peut regretter un léger manque de puissance, cela a au moins l'avantage de rendre accessible la petite sportive.
Alors vais-je appeler mon banquier et craquer pour cette A290 ? J’ai encore du mal avec le prix : plus cher que la Mini John Cooper Works électrique malgré une puissance et un équipement moindre… tandis que le comportement routier est semblable. Une chose est sûre, sa bouille séduisante pèsera dans la balance.
**Les données clés de l'Alpine A290**
- **Prix :** à partir de 45 000 €
- **Puissance :** 237 ch (180 ch pour la version « GT »)
- **Consommation :** 17,6 kWh/100 km
- **Autonomie :** environ 300 km WLTP
**Le bilan de la nouvelle Alpine A290 : un jouet très addictif**
Le futur est ici et c’est une époque où les énergies renouvelables sont de plus en plus mises en avant. Cela concerne particulièrement les véhicules électriques, dont la Renault se fait déjà partie intégrante du mouvement avec sa « Technologie Z.E. ». La dernière de ce genre est bien sûr l’Alpine A290 électrique, une sportive qui promet beaucoup mais ne va-t-elle pas décevoir ?
**La conception : un jouet très addictif**
L'aspect visuel de la sportivité bleue de notre testée est bien sûr un point fort. La Renault a fait son choix et s'est laissé inspirer par le design d'une Saab 9000 pour y ajouter quelques éléments modernes, tels que des phares rétroviseurs électroniques et des jantes en aluminium. On se croirait peut-être en train de rouler dans une voiture « 80 s », mais on est bien ici dans la France actuelle. Les lignes de l’A290 sont belles et rafraîchissantes, avec des feux arrière qui évoquent un peu les Jaguar de l’époque « F ».
La plupart des éléments intérieurs rappellent également le style d'époque « F ». Les touches plastiques sont de qualité et rien n'implique une voiture électrique. Sur le dashboard, on retrouve le tableau d'information classique, avec un tracé moderne et épuré. En revanche, l'appareil audio est plus traditionnel.
**La conduite : un comportement efficace ou fun si on la provoque**
Plonger dans les virages n’est pas un problème grâce à une direction précise couplée à un train avant incisif. On sent bien que la sportivité a été pensée pour se dérober et s’enfuir. Mais ce n'est pas une banale voiture de route : la suspension est ferme mais pas trop inconfortable, et le comportement sur les embouteillages reste très bon.
Le train arrière peut encore s’échapper légèrement lorsqu’on pousse un peu l’A290 dans ses retranchements. On pourrait penser qu’il est à l’encontre des préceptes de la rationalité énergétique, mais on comprend que le purisme n’est pas toujours le moyen le plus efficace pour atteindre un objectif.
Les freins sont très bien calibrés et permettent une récupération très nette du moteur. Le système « One Pedal » est bien présent, ce qui nous apprend qu’Alpine a hâte de révolutionner la conduite électrique en France. Mais on ne peut pas s’empêcher de regretter que le mode soit disponible sur notre testé.
L'insonorisation reste un peu étrangère à l'esprit de sportivité qui fait rêver les constructeurs, mais on comprend que ce sont là des éléments secondaires par rapport aux aspects plus important du véhicule.
**La autonomie et la consommation : une autonomie réelle d'environ 300 km**
L’A290 reprend la batterie de 52 kWh et revendique une autonomie de 361 km WLTP. Dans la réalité, il faut compter plutôt sur une autonomie réelle autour des 300 km — comme la Mini JCW E — avec une consommation moyenne relevée de 17,6 kWh/100 km. En haussant le rythme, la balade prendra fin inéluctablement plus tôt.
La recharge est un peu moins délicate. La Renault a choisi d'aller jusqu'à 100 kW sur borne rapide et annonce un 15 à 80 % de batterie en 30 minutes. Mais la réalité s’est avérée un peu lente, car j'ai réalisé un 36 à 84 % en à peine 25 minutes.
**Le prix : plus cher qu’une Mini John Cooper Works E**
La sportivité se mérite chez Alpine et coûte donc le double. La A290 GTS est vendue à partir de 45 000 €, soit 2 500 euros de plus que sa version « GT » de 180 ch. S'ajoutent des options d'équipement de 1 300 euros pour porter le total à 47 200 euros, ce qui fait un gros plafond.
La Mini John Cooper Works E est une option moins chère avec un prix de 42 550 euros. Et pour la rendre encore plus compétitive, elle offre des options personnalisations gratuites. En optant pour le pack d'équipement complet — 3 310 euros —, la facture s'élève finalement à 45 860 euros.
**Conclusion**
La toute première Alpine électrique mérite-t-elle son patronyme ? N’en déplaise aux puristes, mais je pense bien que oui. Nous avons là une machine à l’efficacité redoutable, certes bridée par son électronique, qui procure des sensations sympathiques lorsque l’on roule dans sa plage d’utilisation idéale, comme par hasard située aux limitations de vitesse sur routes départementales. Si l'on peut regretter un léger manque de puissance, cela a au moins l'avantage de rendre accessible la petite sportive.
Alors vais-je appeler mon banquier et craquer pour cette A290 ? J’ai encore du mal avec le prix : plus cher que la Mini John Cooper Works électrique malgré une puissance et un équipement moindre… tandis que le comportement routier est semblable. Une chose est sûre, sa bouille séduisante pèsera dans la balance.
**Les données clés de l'Alpine A290**
- **Prix :** à partir de 45 000 €
- **Puissance :** 237 ch (180 ch pour la version « GT »)
- **Consommation :** 17,6 kWh/100 km
- **Autonomie :** environ 300 km WLTP