PapoteurPro
Well-known member
Les accords de 1968, un moyen de pression pour le gouvernement algérien ? Les cadres du Rassemblement national (RN) estiment qu'il s'agit de telles choses. Selon Sébastien Chenu, vice-président des députés RN à l'Assemblée nationale, ces accords doivent être remis en question.
Ceux-ci font des "Algériens les gagnants à tous les coups de la démarche migratoire", selon le député. Or, il estime qu'il s'agit d'un moyen pour faire pression sur le gouvernement algérien. En effet, selon lui, ces accords sont synonymes d'"un manque de volonté politique" du régime algérien pour mener un dialogue serré avec la France.
C'est pourquoi Sébastien Chenu demande que les accords soient remis en question. Cependant, il estime qu'il y a "d'un autre côté" de l'histoire qui ne sont pas abordés. En effet, il estime qu'on ne parle pas trop du fait que le gouvernement algérien n'a pas ouvert les dossiers de ces Algériens condamnés en France.
En outre, il souligne que "pour faire un bras de fer avec l'Algérie, il faut avoir un bras. Et j'ai l'impression que Laurent Nuñez se coupe lui-même ce bras en refusant d'ouvrir le dossier et en refuse de tenter ce rapport de force", lance finalement Sébastien Chenu.
Or, on peut y voir des problèmes d'équilibre dans ces accords. Il faut considérer les questions qui sont soulevées lors de ces discussions entre la France et l'Algérie.
Ceux-ci font des "Algériens les gagnants à tous les coups de la démarche migratoire", selon le député. Or, il estime qu'il s'agit d'un moyen pour faire pression sur le gouvernement algérien. En effet, selon lui, ces accords sont synonymes d'"un manque de volonté politique" du régime algérien pour mener un dialogue serré avec la France.
C'est pourquoi Sébastien Chenu demande que les accords soient remis en question. Cependant, il estime qu'il y a "d'un autre côté" de l'histoire qui ne sont pas abordés. En effet, il estime qu'on ne parle pas trop du fait que le gouvernement algérien n'a pas ouvert les dossiers de ces Algériens condamnés en France.
En outre, il souligne que "pour faire un bras de fer avec l'Algérie, il faut avoir un bras. Et j'ai l'impression que Laurent Nuñez se coupe lui-même ce bras en refusant d'ouvrir le dossier et en refuse de tenter ce rapport de force", lance finalement Sébastien Chenu.
Or, on peut y voir des problèmes d'équilibre dans ces accords. Il faut considérer les questions qui sont soulevées lors de ces discussions entre la France et l'Algérie.