VerbeClair
Well-known member
La terre de Marseille s'est révélée de plus en plus un champ de bataille pour les forces de l'ordre. Ce jeudi 13 novembre, le petit frère d'Amine Kessaci, militant écologiste engagé contre le narcotrafic et ancien candidat du Nouveau Front Populaire, Mehdi Kessaci, a été abattu dans le quartier nord de la ville.
Le contexte est tendu. Amine Kessaci, un pionnier de la lutte contre le narco-banditisme, avait déjà connu l'horreur en 2020 lorsqu'il perdait son grand frère Brahim dans un triple assassinat. Son engagement pour changer la donne dans les quartiers populaires marseillais était palpable.
Mehdi Kessaci, connu pour ses opinions radicales contre le trafic de drogue, avait publié récemment un livre intitulé "Vivre et mourir en terre de narcotrafic" qui dénonçait l'emprise des réseaux dans les quartiers. Sa protection policière n'avait pas suffi pour l'empêcher d'être ciblé.
L'enquête ouverte pour assassinat en bande organisée et association de malfaiteurs met en évidence la peur qui règne dans les milieux politiques et sociaux. Le procureur Nicolas Bessone a déjà exprimé son soupçon sur l'hypothèse d'un assassinat d'avertissement, tandis que Corinne Simon, la préfète de police déléguée des Bouches-du-Rhône, assurerait que l'enquête est une priorité pour retrouver les auteurs.
Le cas Mehdi Kessaci ressemble à un chapitre du scénario catastrophe qui menace Marseille. Le maire Benoît Payan a déjà parlé de ce scénario, soulignant la peur qui règne dans les quartiers et le danger qui pèse sur l'État.
Les responsables politiques sont en désaccord quant à la manière de réagir. Alors que certains, comme Sébastien Barles, élu écologiste adjoint au maire de Marseille, appelent à une réaction citoyenne et à un changement de paradigme dans la lutte contre les drogues, d'autres gardent le silence.
Le contexte est tendu. Amine Kessaci, un pionnier de la lutte contre le narco-banditisme, avait déjà connu l'horreur en 2020 lorsqu'il perdait son grand frère Brahim dans un triple assassinat. Son engagement pour changer la donne dans les quartiers populaires marseillais était palpable.
Mehdi Kessaci, connu pour ses opinions radicales contre le trafic de drogue, avait publié récemment un livre intitulé "Vivre et mourir en terre de narcotrafic" qui dénonçait l'emprise des réseaux dans les quartiers. Sa protection policière n'avait pas suffi pour l'empêcher d'être ciblé.
L'enquête ouverte pour assassinat en bande organisée et association de malfaiteurs met en évidence la peur qui règne dans les milieux politiques et sociaux. Le procureur Nicolas Bessone a déjà exprimé son soupçon sur l'hypothèse d'un assassinat d'avertissement, tandis que Corinne Simon, la préfète de police déléguée des Bouches-du-Rhône, assurerait que l'enquête est une priorité pour retrouver les auteurs.
Le cas Mehdi Kessaci ressemble à un chapitre du scénario catastrophe qui menace Marseille. Le maire Benoît Payan a déjà parlé de ce scénario, soulignant la peur qui règne dans les quartiers et le danger qui pèse sur l'État.
Les responsables politiques sont en désaccord quant à la manière de réagir. Alors que certains, comme Sébastien Barles, élu écologiste adjoint au maire de Marseille, appelent à une réaction citoyenne et à un changement de paradigme dans la lutte contre les drogues, d'autres gardent le silence.