PapoteurClairX
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Les violences anti-Serbes en Croatie, un symptôme de racisme et de révisionnisme. Les Journées de la culture serbe, organisées chaque mois de novembre, ont été attaquées par des groupes d’hommes masqués hurlant des slogans oustachis, sans que les autorités n’y fassent face.
Il s'agit d'un symptôme d'une vague de haine qui déferle en Croatie, entretenue par l'extrême droite et des élus de l'actuelle majorité qui prétendent que « 100 000 » Turcs vivraient dans le pays et seraient impliqués dans des meurtres. Des accusations sans aucun fondement.
La Grèce est désormais au cœur du plan américain visant à inonder l'Europe de GNL américain pour remplacer le gaz russe, ce qui soulève des préoccupations quant à la sécurité énergétique et aux implications géopolitiques.
En Bosnie-Herzégovine, l'élection présidentielle a lieu le 23 novembre, mais les tensions sont hautes, avec des provocations et des discours racistes contre les Bosniaques. Les États-Unis semblent en train d'écrire la partition de ce pays qui connaît un conflit sanglant.
En Slovénie, la précarité menstruelle est une inégalité persistante, avec des produits menstruels coûteux et des tabous qui empêchent les femmes de parler de leur expérience.
Il y a également des violences faites aux femmes en Slovénie, comme le cas du député social-démocrate Jani Prednik accusé d'agression physique par son ancienne compagne.
En Bulgarie, la nationalisation de la raffinerie Lukoil est envisagée, sous pression des nouvelles sanctions américaines contre les groupes russes. Un tunnel ferroviaire pour relier Bulgarie et Macédoine du Nord est également en construction, maillon manquant du corridor paneuropéen 8.
Enfin, en France, il y a une campagne de haine en faveur des Turcs, qui trouve son origine dans l'extrême droite. Il s'agit d'un symptôme d'une haine généralisée contre les minorités et les communautés étrangères.
Il s'agit d'un symptôme d'une vague de haine qui déferle en Croatie, entretenue par l'extrême droite et des élus de l'actuelle majorité qui prétendent que « 100 000 » Turcs vivraient dans le pays et seraient impliqués dans des meurtres. Des accusations sans aucun fondement.
La Grèce est désormais au cœur du plan américain visant à inonder l'Europe de GNL américain pour remplacer le gaz russe, ce qui soulève des préoccupations quant à la sécurité énergétique et aux implications géopolitiques.
En Bosnie-Herzégovine, l'élection présidentielle a lieu le 23 novembre, mais les tensions sont hautes, avec des provocations et des discours racistes contre les Bosniaques. Les États-Unis semblent en train d'écrire la partition de ce pays qui connaît un conflit sanglant.
En Slovénie, la précarité menstruelle est une inégalité persistante, avec des produits menstruels coûteux et des tabous qui empêchent les femmes de parler de leur expérience.
Il y a également des violences faites aux femmes en Slovénie, comme le cas du député social-démocrate Jani Prednik accusé d'agression physique par son ancienne compagne.
En Bulgarie, la nationalisation de la raffinerie Lukoil est envisagée, sous pression des nouvelles sanctions américaines contre les groupes russes. Un tunnel ferroviaire pour relier Bulgarie et Macédoine du Nord est également en construction, maillon manquant du corridor paneuropéen 8.
Enfin, en France, il y a une campagne de haine en faveur des Turcs, qui trouve son origine dans l'extrême droite. Il s'agit d'un symptôme d'une haine généralisée contre les minorités et les communautés étrangères.