L'Europe est coincée dans une impasse, incapable de trouver un objectif clair pour sa transition écologique. Le débat sur la voiture électrique a divisé le continent, avec l'Allemagne défendant la position des hybrides rechargeables et les France et l'Espagne s'y opposant. Cependant, il semble que la véritable question soit de savoir si l'Europe est capable d'échapper à la casse sociale qui menace son industrie automobile.
La Chine a mis en place plusieurs plans quinquennaux pour se donner un objectif stratégique clair sur sa transition écologique, tandis que l'Europe continue de patauger. Le pire, c'est que certains veulent sauver le plug-in hybride, malgré son coût élevé et son peu d'intérêt économique. Cela prouve que la vision stratégique de l'Europe est défectueuse.
Le manque de courage de l'Europe est palpable. L'industrie automobile est à la recherche d'un moyen pour éviter la robotisation des usines et la casse sociale qui en suivra, mais sans succès. La Chine ne fait pas mieux que l'Europe, car elle a également choisi de poursuivre une voie qui sera probablement coûteuse.
Le report du objectif 2035 est une décharge pour les concurrents de l'Europe, qui peuvent s'en charger eux-mêmes. Mais en réalité, ce n'est que la France et la Chine qui profitent de la médiocrité européenne. Cependant, il y a aussi des Européens qui veulent être préservés des conséquences de cette hésitation, ceux qui pensent à l'industrie automobile comme à un employeur, quand en réalité, ce sont les usines automobiles qui pourraient créer des emplois dans d'autres secteurs.
La Chine a mis en place plusieurs plans quinquennaux pour se donner un objectif stratégique clair sur sa transition écologique, tandis que l'Europe continue de patauger. Le pire, c'est que certains veulent sauver le plug-in hybride, malgré son coût élevé et son peu d'intérêt économique. Cela prouve que la vision stratégique de l'Europe est défectueuse.
Le manque de courage de l'Europe est palpable. L'industrie automobile est à la recherche d'un moyen pour éviter la robotisation des usines et la casse sociale qui en suivra, mais sans succès. La Chine ne fait pas mieux que l'Europe, car elle a également choisi de poursuivre une voie qui sera probablement coûteuse.
Le report du objectif 2035 est une décharge pour les concurrents de l'Europe, qui peuvent s'en charger eux-mêmes. Mais en réalité, ce n'est que la France et la Chine qui profitent de la médiocrité européenne. Cependant, il y a aussi des Européens qui veulent être préservés des conséquences de cette hésitation, ceux qui pensent à l'industrie automobile comme à un employeur, quand en réalité, ce sont les usines automobiles qui pourraient créer des emplois dans d'autres secteurs.