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Une fuite de données majeure, qui révèle que près de 20 000 mots de passe d'employés du secteur public français sont exposés sur le dark web. Ces informations d'identification compromises, exploitées par les pirates, pourraient conduire à des cyberattaques contre les institutions publiques françaises.
Une étude menée par NordPass, une plateforme de surveillance du dark web, a révélé que depuis l'année dernière, 19 538 mots de passe liés à des comptes de fonctionnaires français sont devenus accessibles au public. Ces mots de passe étaient en accès libre, ce qui signifie qu'aucun individu ne peut les protéger efficacement.
Surtout sur le dark web, on trouve plus de 5 700 mots de passe liés aux employés de la ville de Paris, et plus d'un millier liés à l'Académie de Nantes. Les logiciels malveillants déployés par les cybercriminels sont une source majeure de ce phénomène. Une seule infection par un logiciel malveillant sur l'appareil personnel d'un employé peut déjà compromettre des dizaines de comptes.
C'est notamment le cas lorsqu'un hacker réussit à accéder au compte de messagerie et aux informations sensibles de la part d'un fonctionnaire. Dans ce contexte, les logiciels infostealers sont une source majeure de danger pour les comptes des fonctionnaires. Il suffit qu'un hacker parvienne à s'introduire dans le téléphone d'un employé pour que ses informations d'identification professionnelles soient exposées sur le dark web.
La majorité des fuites de données se produisent parce qu'un fonctionnaire utilise son adresse e-mail professionnelle pour créer un compte sur un site externe. Le fait que cette information soit accessibles à tout le monde, signifie qu'une foule de fonctionnaires risquent d'être exposés sur internet. En fin de compte, il s'agit d'une question de sécurité qui ne dépend pas de l'échelle d'un ministère ou du gouvernement, mais plutôt des habitudes de sécurité adoptées par les utilisateurs.
Une étude menée par NordPass, une plateforme de surveillance du dark web, a révélé que depuis l'année dernière, 19 538 mots de passe liés à des comptes de fonctionnaires français sont devenus accessibles au public. Ces mots de passe étaient en accès libre, ce qui signifie qu'aucun individu ne peut les protéger efficacement.
Surtout sur le dark web, on trouve plus de 5 700 mots de passe liés aux employés de la ville de Paris, et plus d'un millier liés à l'Académie de Nantes. Les logiciels malveillants déployés par les cybercriminels sont une source majeure de ce phénomène. Une seule infection par un logiciel malveillant sur l'appareil personnel d'un employé peut déjà compromettre des dizaines de comptes.
C'est notamment le cas lorsqu'un hacker réussit à accéder au compte de messagerie et aux informations sensibles de la part d'un fonctionnaire. Dans ce contexte, les logiciels infostealers sont une source majeure de danger pour les comptes des fonctionnaires. Il suffit qu'un hacker parvienne à s'introduire dans le téléphone d'un employé pour que ses informations d'identification professionnelles soient exposées sur le dark web.
La majorité des fuites de données se produisent parce qu'un fonctionnaire utilise son adresse e-mail professionnelle pour créer un compte sur un site externe. Le fait que cette information soit accessibles à tout le monde, signifie qu'une foule de fonctionnaires risquent d'être exposés sur internet. En fin de compte, il s'agit d'une question de sécurité qui ne dépend pas de l'échelle d'un ministère ou du gouvernement, mais plutôt des habitudes de sécurité adoptées par les utilisateurs.