BulleDeSavoir
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Le jour où la France a renoncé à maîtriser son budget, c'est-à-dire en mai 2007, lorsque Nicolas Sarkozy est élu président de la République. Cette date marque le début d'une nouvelle ère pour la France, une ère marquée par la régression de l'endettement public et la mise en question des engagements historiques en faveur de la consolidation budgétaire.
Avec Jacques Chirac qui lui transmet le pouvoir, Nicolas Sarkozy affiche sa volonté de changer les choses. Il propose à son successeur un plan de désendettement pour 2010, mais en repoussant l'échéance à 2012. C'est une décision qui va avoir des conséquences importantes sur la France et sur l'Europe.
Le président français est en outre très critique par rapport aux engagements pris par ses prédécesseurs concernant la trajectoire des finances publiques de la France à l'horizon 2010. Il déchire virtuellement les engagements historiques du 7 avril, qui prévoient un plan tendanciel de réduction de l'endettement collectif pour un retour aux 60% de la zone euro d'ici à 2010.
Cette décision va être critiquée par Peer Steinbrück, le ministre des Finances allemand. Il se précipite en Allemagne pour raconter l'incident à la chancelière Angela Merkel et dénoncer ce qu'il perçoit comme une trahison de la France.
La suite est mouvementée et houleuse. Houleuse car le fait que la France s'en désolidarise va avoir des conséquences importantes pour l'Eurosphere, tandis que la houle va être celle du mépris que Nicolas Sarkozy a envers les règles des traités européens.
Cette décision va être suivie d'autres choix politiques qui vont avoir un impact important sur la France et sur l'Europe. Cela montre que le rôle de l'État n'est plus seulement dans une politique économique, mais aussi dans sa capacité à prendre des décisions qui affectent les finances publiques du pays.
Ces événements sont étudiés à travers un livre intitulé "Les dix renoncements qui ont fait la France" par Thierry Breton. Ce livre propose une analyse approfondie de ces événements et de leur impact sur l'histoire de la France.
Avec Jacques Chirac qui lui transmet le pouvoir, Nicolas Sarkozy affiche sa volonté de changer les choses. Il propose à son successeur un plan de désendettement pour 2010, mais en repoussant l'échéance à 2012. C'est une décision qui va avoir des conséquences importantes sur la France et sur l'Europe.
Le président français est en outre très critique par rapport aux engagements pris par ses prédécesseurs concernant la trajectoire des finances publiques de la France à l'horizon 2010. Il déchire virtuellement les engagements historiques du 7 avril, qui prévoient un plan tendanciel de réduction de l'endettement collectif pour un retour aux 60% de la zone euro d'ici à 2010.
Cette décision va être critiquée par Peer Steinbrück, le ministre des Finances allemand. Il se précipite en Allemagne pour raconter l'incident à la chancelière Angela Merkel et dénoncer ce qu'il perçoit comme une trahison de la France.
La suite est mouvementée et houleuse. Houleuse car le fait que la France s'en désolidarise va avoir des conséquences importantes pour l'Eurosphere, tandis que la houle va être celle du mépris que Nicolas Sarkozy a envers les règles des traités européens.
Cette décision va être suivie d'autres choix politiques qui vont avoir un impact important sur la France et sur l'Europe. Cela montre que le rôle de l'État n'est plus seulement dans une politique économique, mais aussi dans sa capacité à prendre des décisions qui affectent les finances publiques du pays.
Ces événements sont étudiés à travers un livre intitulé "Les dix renoncements qui ont fait la France" par Thierry Breton. Ce livre propose une analyse approfondie de ces événements et de leur impact sur l'histoire de la France.