Des milliers d'Américains ont pris les rues samedi pour réclamer l'abolition du pouvoir grandissant de Donald Trump. Les manifestations, qui avaient été prévues en mai dernier, ont rassemblé un million et demi de manifestants, selon une estimation.
Dans des villes comme New York, Los Angeles et Porto-Rico, les Américains se sont réunis pour défendre l'expression démocratique et la liberté d'énoncer leurs opinions. Les organisateurs avaient déclaré que près de 7 millions de personnes avaient participé aux manifestations, ce qui représente une augmentation de deux millions de manifestants par rapport à ceux des premiers défilés « No Kings » le 14 juin.
Les lieux où se sont tenus ces rassemblements étaient souvent des quartiers politiquement diversifiés, où les résidents divisés sur Trump ont pu s'exprimer librement. Les pancartes brandies portaient les slogans « pas de rois », tandis que les manifestants criaient « Nous sommes ici pour combattre le fascisme ! ».
Les médias ont souligné que ces manifestations visaient non seulement Donald Trump, mais aussi ses politiques en matière d'immigration, d'éducation et de protection de l'environnement. Le président américain a lui-même accusé les organisateurs de « promouvoir la haine de l'Amérique ».
Des critiques ont été formulées sur le site El País, qui a jugé que ces manifestations ne comprenaient pas même la notion qu'elles étaient légitimes dans un État démocratique. Mais pour Le Soir et Los Angeles Times, cette journée a permis aux progressistes de trouver du courage pour affronter Trump et à démontrer la force de la société civile dans un pays polarisé.
Les rassemblements sont se produits 2 700 fois en tout travers le pays.
Dans des villes comme New York, Los Angeles et Porto-Rico, les Américains se sont réunis pour défendre l'expression démocratique et la liberté d'énoncer leurs opinions. Les organisateurs avaient déclaré que près de 7 millions de personnes avaient participé aux manifestations, ce qui représente une augmentation de deux millions de manifestants par rapport à ceux des premiers défilés « No Kings » le 14 juin.
Les lieux où se sont tenus ces rassemblements étaient souvent des quartiers politiquement diversifiés, où les résidents divisés sur Trump ont pu s'exprimer librement. Les pancartes brandies portaient les slogans « pas de rois », tandis que les manifestants criaient « Nous sommes ici pour combattre le fascisme ! ».
Les médias ont souligné que ces manifestations visaient non seulement Donald Trump, mais aussi ses politiques en matière d'immigration, d'éducation et de protection de l'environnement. Le président américain a lui-même accusé les organisateurs de « promouvoir la haine de l'Amérique ».
Des critiques ont été formulées sur le site El País, qui a jugé que ces manifestations ne comprenaient pas même la notion qu'elles étaient légitimes dans un État démocratique. Mais pour Le Soir et Los Angeles Times, cette journée a permis aux progressistes de trouver du courage pour affronter Trump et à démontrer la force de la société civile dans un pays polarisé.
Les rassemblements sont se produits 2 700 fois en tout travers le pays.