La Région Île-de-France a annoncé hier son décision de mettre fin à l'aide financière pour les Maisons de Vieillissement et de Personnes âgées Handicapées (MDPH), une mesure qui suscite la colère des associations et des élus locaux.
" Cette décision est un coup dur pour les personnes handicapées et leurs familles, qui dépendent pour grande part de cet argent pour vivre dans des conditions dignes ", a déclaré le président du syndicat d' Professionnels du Handicap (SPH), Marc Ravalard.
Il estime que cette décision " va mettre en danger l'accès aux soins et services essentiels pour les personnes âgées handicapées, qui sont déjà dans un état de vulnérabilité extrême ".
" Il faut trouver une solution immédiate à cet écho du retrait de l'aide financière pour ces personnes ", souligne M. Ravalard.
Le délégué général du syndicat "Accord Handicap", Jean-Pierre Martin, a également condamné cette décision et l'a qualifiée d' "un coup dur pour les personnes handicapées".
" Cette décision va mettre en danger la dignité de ces personnes qui ont le droit de vivre dans des conditions dignes. Nous allons continuer à défendre leurs droits ", a-t-il déclaré.
Les élus locaux, tels que Nicolas Bouillon, député de la 7e circonscription d'Ile-de-France, et Antoine Kergaravén, maire du Hauts-de-Seine, ont également exprimé leur indignation et leurs oppositions à cette décision.
" Cette décision est un refus de prendre en compte les besoins des personnes handicapées. Nous allons nous battre pour que cette aide soit retrouvée ", a déclaré M. Bouillon.
" Cette décision est un coup dur pour les personnes handicapées et leurs familles, qui dépendent pour grande part de cet argent pour vivre dans des conditions dignes ", a déclaré le président du syndicat d' Professionnels du Handicap (SPH), Marc Ravalard.
Il estime que cette décision " va mettre en danger l'accès aux soins et services essentiels pour les personnes âgées handicapées, qui sont déjà dans un état de vulnérabilité extrême ".
" Il faut trouver une solution immédiate à cet écho du retrait de l'aide financière pour ces personnes ", souligne M. Ravalard.
Le délégué général du syndicat "Accord Handicap", Jean-Pierre Martin, a également condamné cette décision et l'a qualifiée d' "un coup dur pour les personnes handicapées".
" Cette décision va mettre en danger la dignité de ces personnes qui ont le droit de vivre dans des conditions dignes. Nous allons continuer à défendre leurs droits ", a-t-il déclaré.
Les élus locaux, tels que Nicolas Bouillon, député de la 7e circonscription d'Ile-de-France, et Antoine Kergaravén, maire du Hauts-de-Seine, ont également exprimé leur indignation et leurs oppositions à cette décision.
" Cette décision est un refus de prendre en compte les besoins des personnes handicapées. Nous allons nous battre pour que cette aide soit retrouvée ", a déclaré M. Bouillon.