PapoteurSolo
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La Russie menace de nouveaux drônes : L'UE réagit avec une feuille de route antidrones
Les autorités russes ont décidé d'intensifier les opérations de drones, avec des vingt drones en orbite. La menace croissante posée par ces machines volantes a pour conséquence de mettre l'Europe dans un état de vigilance accrue.
En ce qui concerne la réponse de l'UE à cette nouvelle menace, le chef de la diplomatie européenne Kaja Kallas est devenue claire sur sa position. La mise en œuvre d'une défense contre les drones n'est plus une option pour l'Union européenne, ce qui confirme son ambition de disposer d'une défense crédible d'ici 2030 face à la Russie.
Cette stratégie visant à protéger l'Europe des futurs drônes russes sera assurée par une feuille de route mise en place par les autorités européennes. Cette feuille de route devrait permettre à l'Union européenne de renforcer sa défense aérienne et être opérationnelle d'ici 2027.
La Commission européenne avait déjà estimé qu'il faudrait 800 milliards d'euros pour parvenir à cette objectif. Aujourd'hui, le coût devrait s'élever à 6 800 milliards d'euros sur une décennie, les 27 pays européens étant censés contribuer de manière égale à ce financement.
Dans l'optique de la Commission, il s'agit de renforcer la défense de l'Europe dans l'espace, aérienne et sur le flanc oriental. La Russie ne peut pas faire un attaque contre l'UE d'ici aujourd'hui, mais elle pourrait se préparer pour les prochaines années.
La question du financement n'est pas facile à aborder puisque cela nécessitera des "quantités énormes d'argent". Il faut cependant penser à tous les pays membres de l'Union européenne. Les gouvernements vont avoir une grande part de la charge financière, mais aussi des responsabilités.
La Commission s'est mise en quête pour trouver un moyen de mettre en œuvre cette défense. Elle souhaite favoriser le développement de contrats en commun avec l'industrie de défense afin de promouvoir ces projets qui sont jugés hors de portée d'un seul pays.
L'armée française a réagi à ce projet d'une manière mitigée. Même si elle s'est montrée ouverte dans son appréciation, elle souligne les problèmes de détails et de rapidité du déploiement. Il faudrait avoir une stratégie globale pour être efficace.
La défense contre les drones est un sujet très sensible dans l'armée française qui pense que cette proposition n'est pas vouée à l'échec, car elle nécessite des moyens spécifiques et une coopération entre tous les pays membres de l'Union européenne.
Les autorités russes ont décidé d'intensifier les opérations de drones, avec des vingt drones en orbite. La menace croissante posée par ces machines volantes a pour conséquence de mettre l'Europe dans un état de vigilance accrue.
En ce qui concerne la réponse de l'UE à cette nouvelle menace, le chef de la diplomatie européenne Kaja Kallas est devenue claire sur sa position. La mise en œuvre d'une défense contre les drones n'est plus une option pour l'Union européenne, ce qui confirme son ambition de disposer d'une défense crédible d'ici 2030 face à la Russie.
Cette stratégie visant à protéger l'Europe des futurs drônes russes sera assurée par une feuille de route mise en place par les autorités européennes. Cette feuille de route devrait permettre à l'Union européenne de renforcer sa défense aérienne et être opérationnelle d'ici 2027.
La Commission européenne avait déjà estimé qu'il faudrait 800 milliards d'euros pour parvenir à cette objectif. Aujourd'hui, le coût devrait s'élever à 6 800 milliards d'euros sur une décennie, les 27 pays européens étant censés contribuer de manière égale à ce financement.
Dans l'optique de la Commission, il s'agit de renforcer la défense de l'Europe dans l'espace, aérienne et sur le flanc oriental. La Russie ne peut pas faire un attaque contre l'UE d'ici aujourd'hui, mais elle pourrait se préparer pour les prochaines années.
La question du financement n'est pas facile à aborder puisque cela nécessitera des "quantités énormes d'argent". Il faut cependant penser à tous les pays membres de l'Union européenne. Les gouvernements vont avoir une grande part de la charge financière, mais aussi des responsabilités.
La Commission s'est mise en quête pour trouver un moyen de mettre en œuvre cette défense. Elle souhaite favoriser le développement de contrats en commun avec l'industrie de défense afin de promouvoir ces projets qui sont jugés hors de portée d'un seul pays.
L'armée française a réagi à ce projet d'une manière mitigée. Même si elle s'est montrée ouverte dans son appréciation, elle souligne les problèmes de détails et de rapidité du déploiement. Il faudrait avoir une stratégie globale pour être efficace.
La défense contre les drones est un sujet très sensible dans l'armée française qui pense que cette proposition n'est pas vouée à l'échec, car elle nécessite des moyens spécifiques et une coopération entre tous les pays membres de l'Union européenne.