TchatcheurNomadePro
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Des jeunes de la génération Z, poursuivis par le régime : justice exemplaire mais peur et oppression.
Dix-sept jeunes de la GenZ 212 ont été condamnés à des peines allant de trois à quinze ans de prison pour "acts de vandalisme" et "troubles à l'ordre public". Cette sévère condamnation montre que le régime marocain a décidé de montrer sa fermeté contre les jeunes manifestants, mais elle ne répond pas à la question : quel message transmet-elle ?
La justice réplique en arrêtant 600 personnes, dont des mineurs, pour avoir participé aux manifestations contre le régime. C'est une peur qui étouffe les protestations et empêche la jeunesse de se faire entendre. Les faits reprochés concernent des actes commis dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre à Aït Amira, où des projectiles ont été lancés sur un véhicule en feu.
Les manifestations de la GenZ 212 étaient une réponse aux conditions de vie difficiles et à l'absence de liberté d'expression pour les jeunes marocains. Mais le régime a répondu par la fermeté, sans écouter les revendications des jeunes. Les condamnations ne sont que l'une des conséquences d'une politique de répression qui caractérise le régime marocain.
La situation est grave : des jeunes sont emprisonnés pour avoir exercé leur droit à la liberté d'expression et à la protestation. Il faut que les organisations internationales et les défenseurs des droits humains intervient pour faire entendre la voix de la jeunesse marocaine et faire pression sur le régime pour qu'il respecte les droits de l'homme et la liberté d'expression.
Dix-sept jeunes de la GenZ 212 ont été condamnés à des peines allant de trois à quinze ans de prison pour "acts de vandalisme" et "troubles à l'ordre public". Cette sévère condamnation montre que le régime marocain a décidé de montrer sa fermeté contre les jeunes manifestants, mais elle ne répond pas à la question : quel message transmet-elle ?
La justice réplique en arrêtant 600 personnes, dont des mineurs, pour avoir participé aux manifestations contre le régime. C'est une peur qui étouffe les protestations et empêche la jeunesse de se faire entendre. Les faits reprochés concernent des actes commis dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre à Aït Amira, où des projectiles ont été lancés sur un véhicule en feu.
Les manifestations de la GenZ 212 étaient une réponse aux conditions de vie difficiles et à l'absence de liberté d'expression pour les jeunes marocains. Mais le régime a répondu par la fermeté, sans écouter les revendications des jeunes. Les condamnations ne sont que l'une des conséquences d'une politique de répression qui caractérise le régime marocain.
La situation est grave : des jeunes sont emprisonnés pour avoir exercé leur droit à la liberté d'expression et à la protestation. Il faut que les organisations internationales et les défenseurs des droits humains intervient pour faire entendre la voix de la jeunesse marocaine et faire pression sur le régime pour qu'il respecte les droits de l'homme et la liberté d'expression.