Le rêve d'Xavier Niel de conquérir le marché belge des télécoms est en train de s'enfoncer dans les murs. Le fondateur d'Iliad, qui a déjà réussi à bouleverser le paysage français avec son modèle économique innovant, espérait déployer un forfait en Belgique, mais il a été refusé par l'État.
La stratégie proposée par Niel consistait à renforcer sa participation dans Proximus, l'un des principaux opérateurs télécoms belge, tout en conservant la présidence du conseil d'administration. Mais le gouvernement belge a rejeté ce plan, considérant qu'il constituerait une tentative de prise de contrôle indirecte.
La Belgique est devenue l'un des pays les plus chers pour les utilisateurs de télécoms en Europe. Les tarifs du gigabyte sont environ 13 fois supérieurs à ceux de la France (3 € contre 0,23 €). Sur le plan fixe, la France affiche des tarifs moyens 30 à 40% inférieurs, pour des services équivalents.
Le rejet de cette proposition par les autorités belges a provoqué un regain d'espoir chez Niel. Il reste toutefois ancré dans le paysage télécoms belge via Proximus et reste prêt à continuer à jouer à long terme pour conquérir ce marché.
Mais le défi est réel. La concurrence sur le marché des télécoms en Belgique est faible, ce qui permet aux opérateurs de maintenir les prix élevés. C'est pourquoi l'initiative d'Xavier Niel a été considérée comme un risque pour les autorités belges.
La question reste donc ouverte : pourra-t-on voir une nouvelle entrée importante dans le marché des télécoms belge ? Avez-vous envie de partager vos pensées sur ce sujet ?
La stratégie proposée par Niel consistait à renforcer sa participation dans Proximus, l'un des principaux opérateurs télécoms belge, tout en conservant la présidence du conseil d'administration. Mais le gouvernement belge a rejeté ce plan, considérant qu'il constituerait une tentative de prise de contrôle indirecte.
La Belgique est devenue l'un des pays les plus chers pour les utilisateurs de télécoms en Europe. Les tarifs du gigabyte sont environ 13 fois supérieurs à ceux de la France (3 € contre 0,23 €). Sur le plan fixe, la France affiche des tarifs moyens 30 à 40% inférieurs, pour des services équivalents.
Le rejet de cette proposition par les autorités belges a provoqué un regain d'espoir chez Niel. Il reste toutefois ancré dans le paysage télécoms belge via Proximus et reste prêt à continuer à jouer à long terme pour conquérir ce marché.
Mais le défi est réel. La concurrence sur le marché des télécoms en Belgique est faible, ce qui permet aux opérateurs de maintenir les prix élevés. C'est pourquoi l'initiative d'Xavier Niel a été considérée comme un risque pour les autorités belges.
La question reste donc ouverte : pourra-t-on voir une nouvelle entrée importante dans le marché des télécoms belge ? Avez-vous envie de partager vos pensées sur ce sujet ?