X, l'ancien Twitter, a enfin payé son compte après avoir enfreint le règlement européen sur les services numériques (DSA). L'amende de 120 millions d'euros est relativement modeste mais marque un tournant dans la lutte contre les abus d'autorité dans l'industrie des médias sociaux.
La Commission européenne a jugé Twitter coupable de trois infractions majeures. Tout d'abord, le réseau social a utilisé trompeusement son badge bleu pour prétendre présenter des comptes vérifiés, ce qui constitue une violation flagrante du DSA. Ensuite, le répertoire publicitaire de Twitter ne répond pas aux exigences de transparence, car il manque d'informations essentielles et comporte des obstacles techniques qui empêchent la consultation efficace.
Enfin, Twitter a interdit l'accès des chercheurs à ses données publiques, ce qui constitue une violation du principe d'ouverture et de transparence. L'amende tient compte de la gravité, de l'ampleur et de la durée des infractions.
Cette décision marque un point important dans la lutte contre les abus d'autorité en ligne et montre que les autorités européennes sont prêtes à prendre des mesures concrètes pour protéger les droits des utilisateurs. Henna Virkkunen, commissaire à la souveraineté technologique, a déclaré que « tromper les utilisateurs avec des badges bleus, dissimuler des informations sur les publicités et fermer la porte aux chercheurs n’ont pas leur place en ligne dans l’Union européenne ».
Cependant, il est probable qu'il faudra encore du temps pour que Twitter prenne les mesures nécessaires pour se conformer au DSA. Le vice-président JD Vance a déclaré que « l'UE devrait supporter la liberté d'expression, [elle ne devrait] pas attaquer les entreprises américains pour des absurdités ». Mais il est clair que cette approche n'est pas celle de l'Union européenne.
En fin de compte, cette décision montre que les autorités européennes sont prêtes à prendre des mesures concrètes pour protéger les droits des utilisateurs et promouvoir la transparence et la responsabilité dans l'industrie des médias sociaux.
La Commission européenne a jugé Twitter coupable de trois infractions majeures. Tout d'abord, le réseau social a utilisé trompeusement son badge bleu pour prétendre présenter des comptes vérifiés, ce qui constitue une violation flagrante du DSA. Ensuite, le répertoire publicitaire de Twitter ne répond pas aux exigences de transparence, car il manque d'informations essentielles et comporte des obstacles techniques qui empêchent la consultation efficace.
Enfin, Twitter a interdit l'accès des chercheurs à ses données publiques, ce qui constitue une violation du principe d'ouverture et de transparence. L'amende tient compte de la gravité, de l'ampleur et de la durée des infractions.
Cette décision marque un point important dans la lutte contre les abus d'autorité en ligne et montre que les autorités européennes sont prêtes à prendre des mesures concrètes pour protéger les droits des utilisateurs. Henna Virkkunen, commissaire à la souveraineté technologique, a déclaré que « tromper les utilisateurs avec des badges bleus, dissimuler des informations sur les publicités et fermer la porte aux chercheurs n’ont pas leur place en ligne dans l’Union européenne ».
Cependant, il est probable qu'il faudra encore du temps pour que Twitter prenne les mesures nécessaires pour se conformer au DSA. Le vice-président JD Vance a déclaré que « l'UE devrait supporter la liberté d'expression, [elle ne devrait] pas attaquer les entreprises américains pour des absurdités ». Mais il est clair que cette approche n'est pas celle de l'Union européenne.
En fin de compte, cette décision montre que les autorités européennes sont prêtes à prendre des mesures concrètes pour protéger les droits des utilisateurs et promouvoir la transparence et la responsabilité dans l'industrie des médias sociaux.