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Amir, l'artiste à déprogrammer à Brest ?
Après avoir été critiqué pour sa participation aux Francofolies de Spa en juillet dernier, Amir est maintenant la cible d'une nouvelle campagne de déprogrammation. Cette fois, c'est un concert prévu à Brest qui sera mis en question.
Cécile Beaudouin, tête de liste insoumise pour les municipales 2026 à Brest, a demandé la déprogrammation du concert jeudi prochain dans le Finistère. Pour elle, Amir a commis une "honte" et un "déshonneur". La polémique est liée à ses prises de position sur le conflit israélo-palestinien.
La tête de liste insoumise a dénoncé la participation d'Amir à un événement organisé à Hébron, une colonie israélienne illégale en Cisjordanie. Elle accuse l'artiste d'avoir contribué financièrement et médiatiquement au soutien de la police aux frontières israéliennes ou de soutenir l'armée israélienne dans son action à Gaza en 2014.
Les appels au boycott multipliés
Dix artistes avaient déjà critiqué sa participation aux Francofolies de Spa en juillet dernier, pour la même raison. Son entourage avait alors rappelé que ses prises de parole avaient toujours prôné la paix et le respect de la dignité humaine.
Amir a dénoncé un "antisémitisme d'atmosphère" et exprimé son inquiétude pour la sécurité de ses enfants et la sienne après la réception de "sceaux de menaces et d'insultes".
Une réponse à une attaque ?
Il est difficile de savoir si les critiques contre Amir sont une réponse à une attaque ou simplement une attaque elle-même. Quoi qu'il en soit, il est clair que la polémique entourant l'artiste est loin d'être résolue.
Le boycott artistique : un acte lâche ?
"Le boycott artistique est un acte lâche, insensé, qui va à l'encontre du pluralisme, la définition même de l'art pour moi", avait déclaré Amir lors d'une interview accordée au Parisien-Aujourd'hui en France.
Il faut savoir si ce discours sera suffisant pour mettre fin aux critiques contre lui.
Après avoir été critiqué pour sa participation aux Francofolies de Spa en juillet dernier, Amir est maintenant la cible d'une nouvelle campagne de déprogrammation. Cette fois, c'est un concert prévu à Brest qui sera mis en question.
Cécile Beaudouin, tête de liste insoumise pour les municipales 2026 à Brest, a demandé la déprogrammation du concert jeudi prochain dans le Finistère. Pour elle, Amir a commis une "honte" et un "déshonneur". La polémique est liée à ses prises de position sur le conflit israélo-palestinien.
La tête de liste insoumise a dénoncé la participation d'Amir à un événement organisé à Hébron, une colonie israélienne illégale en Cisjordanie. Elle accuse l'artiste d'avoir contribué financièrement et médiatiquement au soutien de la police aux frontières israéliennes ou de soutenir l'armée israélienne dans son action à Gaza en 2014.
Les appels au boycott multipliés
Dix artistes avaient déjà critiqué sa participation aux Francofolies de Spa en juillet dernier, pour la même raison. Son entourage avait alors rappelé que ses prises de parole avaient toujours prôné la paix et le respect de la dignité humaine.
Amir a dénoncé un "antisémitisme d'atmosphère" et exprimé son inquiétude pour la sécurité de ses enfants et la sienne après la réception de "sceaux de menaces et d'insultes".
Une réponse à une attaque ?
Il est difficile de savoir si les critiques contre Amir sont une réponse à une attaque ou simplement une attaque elle-même. Quoi qu'il en soit, il est clair que la polémique entourant l'artiste est loin d'être résolue.
Le boycott artistique : un acte lâche ?
"Le boycott artistique est un acte lâche, insensé, qui va à l'encontre du pluralisme, la définition même de l'art pour moi", avait déclaré Amir lors d'une interview accordée au Parisien-Aujourd'hui en France.
Il faut savoir si ce discours sera suffisant pour mettre fin aux critiques contre lui.