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Une fraude à couper le souffle au cœur du secteur des prêts aux entreprises. Selon les révélations du Wall Street Journal, BNP Paribas et HPS, une filiale de BlackRock, sont en situation critique après avoir été victimes d'une fraude complexe qui les oblige à trouver plus de 500 millions de dollars pour payer à Broadband Telecom.
C'est le propriétaire de cette société, Bankim Brahmbhatt, qui a mis en place un montage de fraudes sophistiqué. Il a utilisé des e-mails mensongers, des clients fictifs et des créances inventées comme collatéraux pour obtenir des financements à adosser à des actifs, c'est-à-dire que les entreprises empruntent de l'argent en mettant en garantie ce qu'elle possède déjà. Cela signifie que les créances sont basées sur des actifs existants, comme des créances commerciales, des équipements ou des stocks.
Selon des sources proches du dossier interrogées par le Wall Street Journal, BNP Paribas a participé à financer ces prêts à Bankim Brahmbhatt. Cela signifie que la banque a fourni de l'argent à cette société pour l'aider à emprunter davantage.
Le propriétaire de Broadband Telecom, Bankim Brahmbhatt, a disparu après avoir été victime de ce scandale financier. Ses bureaux à New York ont été retrouvés vides et fermés, selon le Wall Street Journal.
Cette affaire tombe mal pour BNP Paribas, qui est déjà fragilisée par un procès aux États-Unis et un coût du risque en hausse. Pourtant, la banque a présenté des résultats solides au troisième trimestre, avec un bénéfice net de 3,04 milliards d'euros, qui a progressé de 6,1 %.
Cette affaire montre que même les grandes entreprises peuvent être touchées par les escroqueries et les manipulations financières. Il faudrait que BNP Paribas prenne des mesures pour se remettre de cette situation difficile et mettre en place des contrôles plus solides pour éviter de se retrouver dans une telle situation à l'avenir.
C'est le propriétaire de cette société, Bankim Brahmbhatt, qui a mis en place un montage de fraudes sophistiqué. Il a utilisé des e-mails mensongers, des clients fictifs et des créances inventées comme collatéraux pour obtenir des financements à adosser à des actifs, c'est-à-dire que les entreprises empruntent de l'argent en mettant en garantie ce qu'elle possède déjà. Cela signifie que les créances sont basées sur des actifs existants, comme des créances commerciales, des équipements ou des stocks.
Selon des sources proches du dossier interrogées par le Wall Street Journal, BNP Paribas a participé à financer ces prêts à Bankim Brahmbhatt. Cela signifie que la banque a fourni de l'argent à cette société pour l'aider à emprunter davantage.
Le propriétaire de Broadband Telecom, Bankim Brahmbhatt, a disparu après avoir été victime de ce scandale financier. Ses bureaux à New York ont été retrouvés vides et fermés, selon le Wall Street Journal.
Cette affaire tombe mal pour BNP Paribas, qui est déjà fragilisée par un procès aux États-Unis et un coût du risque en hausse. Pourtant, la banque a présenté des résultats solides au troisième trimestre, avec un bénéfice net de 3,04 milliards d'euros, qui a progressé de 6,1 %.
Cette affaire montre que même les grandes entreprises peuvent être touchées par les escroqueries et les manipulations financières. Il faudrait que BNP Paribas prenne des mesures pour se remettre de cette situation difficile et mettre en place des contrôles plus solides pour éviter de se retrouver dans une telle situation à l'avenir.