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Un projet qui laisse un peu de canif au gouvernement !
L'économiste Benoît Perrin, directeur général de Contribuables Associés et patron du groupe Bpifrance, a lancé une nouvelle attaque contre le projet de taxation de l'héritage. Il accuse les débats sur ce sujet d'être des "victoires idéologiques" de ceux qui estiment que la France ne paie pas assez d'impôt.
Selon Perrin, il s'agit de l'inverse : c'est la dépense publique qui doit être prioritaire. L'économiste rappelle que la France est un des pays les plus taxés en Europe et souligne que l'abattement fixé à 100 000 euros pour les héritages est "surrealiste".
Mais Perrin va plus loin, il plaide en faveur de faciliter les donations entre grands-parents et petits-enfants. Actuellement, l'abattement est de 30 000 euros, mais Perrin souhaite qu'il soit porté à 100 000 euros.
Et pour finir, il met le gouvernement sur le tapis en parlant des entreprises revendues aux fonds de pension. Selon lui, c'est un moyen pour les gens qui ont travaillé dur et ne pensent pas que leur héritage doit être taxé pour prendre des sacrifices à leur avènement.
En résumé, Benoît Perrin plaide en faveur d'une baisse des impôts sur l'héritage, une augmentation du salaire des travailleurs et la facilitation des donations entre générations. Mais au final, c'est un coup de canif au gouvernement qui souhaite encore augmenter les impôts !
L'économiste Benoît Perrin, directeur général de Contribuables Associés et patron du groupe Bpifrance, a lancé une nouvelle attaque contre le projet de taxation de l'héritage. Il accuse les débats sur ce sujet d'être des "victoires idéologiques" de ceux qui estiment que la France ne paie pas assez d'impôt.
Selon Perrin, il s'agit de l'inverse : c'est la dépense publique qui doit être prioritaire. L'économiste rappelle que la France est un des pays les plus taxés en Europe et souligne que l'abattement fixé à 100 000 euros pour les héritages est "surrealiste".
Mais Perrin va plus loin, il plaide en faveur de faciliter les donations entre grands-parents et petits-enfants. Actuellement, l'abattement est de 30 000 euros, mais Perrin souhaite qu'il soit porté à 100 000 euros.
Et pour finir, il met le gouvernement sur le tapis en parlant des entreprises revendues aux fonds de pension. Selon lui, c'est un moyen pour les gens qui ont travaillé dur et ne pensent pas que leur héritage doit être taxé pour prendre des sacrifices à leur avènement.
En résumé, Benoît Perrin plaide en faveur d'une baisse des impôts sur l'héritage, une augmentation du salaire des travailleurs et la facilitation des donations entre générations. Mais au final, c'est un coup de canif au gouvernement qui souhaite encore augmenter les impôts !