VerbeClair
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Volodymyr Zelensky a refusé ce vendredi le plan américain visant à mettre fin au conflit en Ukraine, soumise notamment à des conditions défavorables. Le document de 28 points proposait la cession du Donbass à la Russie et le retrait de Kiev de l'OTAN. Un plan qui semblait ne pas correspondre aux intérêts de l'Ukraine.
Ce refus est loin d'être surprenant, car Volodymyr Zelensky a décidé de ne pas céder à la pression américaine. Il a exprimé son inacceptable décision en affirmant "ne pas vouloir trahir son pays". Des conditions qui ont été négociées avec la Russie et semblaient défavorables aux Européens.
C'est l'avis d'Antoine Arjakovsky, historien spécialiste des relations russo-ukrainiennes. Il explique que les Européens ne pouvaient pas accepter deux points importants : la réduction de l'armée ukrainienne de un million à 600.000 hommes et la cession totale du Donbass à la Russie. Deux décisions qui, selon lui, étaient inacceptables.
Avant de prendre cette décision, Volodymyr Zelensky a entretenu des discussions avec ses alliés européens notamment Keir Starmer et Emmanuel Macron. Il a également appelé le vice-président américain JD Vance pour l'informer de sa décision tout en exprimant son respect pour les efforts de Donald Trump visant à arrêter la guerre sur son sol.
Enfin, Volodymyr Zelensky a promis de proposer une alternative au plan américain visant à parvenir à un cessez-le-feu le plus rapidement possible. Le Kremlin conseille au chef d'Etat ukrainien de négocier maintenant plutôt que de perdre davantage de territoires.
Ce refus de Volodymyr Zelensky est une preuve que l'Ukraine ne va pas accepter des conditions défavorables qui pourraient compromettre ses intérêts nationaux.
Ce refus est loin d'être surprenant, car Volodymyr Zelensky a décidé de ne pas céder à la pression américaine. Il a exprimé son inacceptable décision en affirmant "ne pas vouloir trahir son pays". Des conditions qui ont été négociées avec la Russie et semblaient défavorables aux Européens.
C'est l'avis d'Antoine Arjakovsky, historien spécialiste des relations russo-ukrainiennes. Il explique que les Européens ne pouvaient pas accepter deux points importants : la réduction de l'armée ukrainienne de un million à 600.000 hommes et la cession totale du Donbass à la Russie. Deux décisions qui, selon lui, étaient inacceptables.
Avant de prendre cette décision, Volodymyr Zelensky a entretenu des discussions avec ses alliés européens notamment Keir Starmer et Emmanuel Macron. Il a également appelé le vice-président américain JD Vance pour l'informer de sa décision tout en exprimant son respect pour les efforts de Donald Trump visant à arrêter la guerre sur son sol.
Enfin, Volodymyr Zelensky a promis de proposer une alternative au plan américain visant à parvenir à un cessez-le-feu le plus rapidement possible. Le Kremlin conseille au chef d'Etat ukrainien de négocier maintenant plutôt que de perdre davantage de territoires.
Ce refus de Volodymyr Zelensky est une preuve que l'Ukraine ne va pas accepter des conditions défavorables qui pourraient compromettre ses intérêts nationaux.