Les tensions frontalières entre le Cambodge et la Thaïlande se sont intensifiées, entraînant une déplacement de plus de 400 000 personnes en raison d'une menace imminente pour leur sécurité. L'armée thaïlandaise a annoncé que les forces cambodgiennes avaient tiré des roquettes tôt mercredi matin, à proximité de l'hôpital Phanom Dong Rak dans la province de Surin, déjà touché lors des affrontements de juillet.
Les deux pays d'Asie du Sud-Est s'accusent mutuellement de la reprise des combats qui ont fait 43 morts de part et d'autre en cinq jours. Le nombre de déplacés a dépassé celui du mois de juillet, lorsque 300 000 personnes avaient fui les combats.
Le président américain Donald Trump a lancé un appel à l'action pour demander aux dirigeants des deux pays de cesser les combats, mais la Thaïlande n'a pas accepté de réagir. "Si un pays tiers souhaite jouer les médiateurs, la Thaïlande ne peut pas l'accepter à ce stade car une limite a été franchie", a déclaré le porte-parole du ministère thaïlandais des Affaires étrangères.
Les combats ont cependant résonné mercredi matin dans le village cambodgien de Samraong, à quelques kilomètres de la frontière et de plusieurs temples historiques revendiqués par la Thaïlande. Les forces armées cambodgiennes ont accusé l'armée thaïlandaise d'avoir "tiré sans discernement sur des zones civiles et des écoles".
Les deux pays sont engagés dans une lutte pour les temples sacrés, qui ont été revendiqués par la Thaïlande. Les combats ont fait 10 civils cambodgiens et 5 soldats thaïlandais tués, selon les derniers bilans des autorités.
Les déplacés sont dans un état de grande anxiété et attendent le jour où la paix reviendra pour pouvoir retourner à leurs maisons. "Je me sens apaisé ici", a dit Lay Non, agent de sécurité qui avait trouvé refuge dans une pagode dans la province de Siem Reap.
Les deux pays d'Asie du Sud-Est s'accusent mutuellement de la reprise des combats qui ont fait 43 morts de part et d'autre en cinq jours. Le nombre de déplacés a dépassé celui du mois de juillet, lorsque 300 000 personnes avaient fui les combats.
Le président américain Donald Trump a lancé un appel à l'action pour demander aux dirigeants des deux pays de cesser les combats, mais la Thaïlande n'a pas accepté de réagir. "Si un pays tiers souhaite jouer les médiateurs, la Thaïlande ne peut pas l'accepter à ce stade car une limite a été franchie", a déclaré le porte-parole du ministère thaïlandais des Affaires étrangères.
Les combats ont cependant résonné mercredi matin dans le village cambodgien de Samraong, à quelques kilomètres de la frontière et de plusieurs temples historiques revendiqués par la Thaïlande. Les forces armées cambodgiennes ont accusé l'armée thaïlandaise d'avoir "tiré sans discernement sur des zones civiles et des écoles".
Les deux pays sont engagés dans une lutte pour les temples sacrés, qui ont été revendiqués par la Thaïlande. Les combats ont fait 10 civils cambodgiens et 5 soldats thaïlandais tués, selon les derniers bilans des autorités.
Les déplacés sont dans un état de grande anxiété et attendent le jour où la paix reviendra pour pouvoir retourner à leurs maisons. "Je me sens apaisé ici", a dit Lay Non, agent de sécurité qui avait trouvé refuge dans une pagode dans la province de Siem Reap.